Sans surprise, le président sortant de l’Algérie, Abdelmadjid Tebboune, a été réélu dimanche 8 septembre pour un second mandat. Selon l’autorité électorale, M. Tebboune a recueilli 94,65% des suffrages exprimés. Les électeurs se sont peu mobilisés pour ce scrutin, avec un taux de participation inférieur à 50%. Le président de l’autorité électorale, Mohamed Charfi, l’a annoncé samedi soir « un taux de participation moyen de 48,03% à 20h »sans préciser le nombre d’électeurs. C’est « d’un chiffre préliminaire »il avait dit.
La réélection de M. Tebboune, 78 ans, était d’autant plus certaine que quatre grands partis soutenaient sa candidature, notamment le Front de libération nationale (ex-parti unique) et le mouvement islamiste El Bina. « Le gagnant est connu à l’avance »en tenant compte “qualité”de « nombre inhabituellement petit » concurrents et « les conditions dans lesquelles s’est déroulée la campagne électorale, ce qui n’est qu’une comédie »a estimé Mohamed Hennad, expert en sciences politiques, sur Facebook.
Face au président sortant, deux candidats peu connus: Abdelaali Hassani, ingénieur des Travaux publics de 57 ans et patron du Mouvement de la société pour la paix, principal parti islamiste, et Youcef Aouchiche, 41 ans, ancien journaliste et sénateur, patron du Front des forces socialistes, le plus ancien parti d’opposition, basé en Kabylie.
Le candidat du Mouvement de la Société pour la Paix a publié dimanche une déclaration dénonçant « violations » pendant l’élection pour « gonfler les résultats ».
Sans surprise, le président sortant de l’Algérie, Abdelmadjid Tebboune, a été réélu dimanche 8 septembre pour un second mandat. Selon l’autorité électorale, M. Tebboune a recueilli 94,65% des suffrages exprimés. Les électeurs se sont peu mobilisés pour ce scrutin, avec un taux de participation inférieur à 50%. Le président de l’autorité électorale, Mohamed Charfi, l’a annoncé samedi soir « un taux de participation moyen de 48,03% à 20h »sans préciser le nombre d’électeurs. C’est « d’un chiffre préliminaire »il avait dit.
La réélection de M. Tebboune, 78 ans, était d’autant plus certaine que quatre grands partis soutenaient sa candidature, notamment le Front de libération nationale (ex-parti unique) et le mouvement islamiste El Bina. « Le gagnant est connu à l’avance »en tenant compte “qualité”de « nombre inhabituellement petit » concurrents et « les conditions dans lesquelles s’est déroulée la campagne électorale, ce qui n’est qu’une comédie »a estimé Mohamed Hennad, expert en sciences politiques, sur Facebook.
Face au président sortant, deux candidats peu connus: Abdelaali Hassani, ingénieur des Travaux publics de 57 ans et patron du Mouvement de la société pour la paix, principal parti islamiste, et Youcef Aouchiche, 41 ans, ancien journaliste et sénateur, patron du Front des forces socialistes, le plus ancien parti d’opposition, basé en Kabylie.
Le candidat du Mouvement de la Société pour la Paix a publié dimanche une déclaration dénonçant « violations » pendant l’élection pour « gonfler les résultats ».