Airbus a annoncé jeudi qu’il allait réorganiser sa production en se concentrant sur les “fondamentaux” pour maintenir la montée en puissance, tout en excluant tout “plan social”. Confirmant une information du quotidien La Tribune, Airbus a annoncé le lancement d’un programme « d’amélioration » baptisé LEAD !.
“Compte tenu de la pression continue sur notre chaîne d’approvisionnement et de la situation économique générale complexe, il est apparu nécessaire de concentrer nos efforts sur les fondamentaux”, a indiqué le groupe. Ce programme “se concentre sur la montée en puissance de nos principales activités” qui concernent “les avions commerciaux, les fonctions intégrées, les filiales” ainsi que la présence dans différentes régions du monde, a ajouté l’avionneur sans plus de précisions.
“Ce n’est pas un plan social”, souligne Airbus. Face aux difficultés de sa chaîne de fournisseurs à suivre son rythme de montée en puissance, Airbus a revu à la baisse ses objectifs de livraison. Alors qu’elle tablait sur la livraison de 800 avions cette année, soit un volume proche de celui de 2019, année de référence avant que la pandémie de Covid-19 ne torpille le secteur aéronautique, elle prévoit désormais d’en livrer seulement 770.
Certains fournisseurs, fragilisés par la pandémie, doivent investir et recruter afin d’augmenter leur production. À cela s’ajoutent la hausse des prix des matières premières, les difficultés d’accès à certains composants et le coût de l’énergie. Les difficultés sont particulièrement importantes pour l’approvisionnement en moteurs, en équipements de cabine ou encore en trains d’atterrissage long-courriers, selon Airbus.
Airbus a annoncé jeudi qu’il allait réorganiser sa production en se concentrant sur les “fondamentaux” pour maintenir la montée en puissance, tout en excluant tout “plan social”. Confirmant une information du quotidien La Tribune, Airbus a annoncé le lancement d’un programme « d’amélioration » baptisé LEAD !.
“Compte tenu de la pression continue sur notre chaîne d’approvisionnement et de la situation économique générale complexe, il est apparu nécessaire de concentrer nos efforts sur les fondamentaux”, a indiqué le groupe. Ce programme “se concentre sur la montée en puissance de nos principales activités” qui concernent “les avions commerciaux, les fonctions intégrées, les filiales” ainsi que la présence dans différentes régions du monde, a ajouté l’avionneur sans plus de précisions.
“Ce n’est pas un plan social”, souligne Airbus. Face aux difficultés de sa chaîne de fournisseurs à suivre son rythme de montée en puissance, Airbus a revu à la baisse ses objectifs de livraison. Alors qu’elle tablait sur la livraison de 800 avions cette année, soit un volume proche de celui de 2019, année de référence avant que la pandémie de Covid-19 ne torpille le secteur aéronautique, elle prévoit désormais d’en livrer seulement 770.
Certains fournisseurs, fragilisés par la pandémie, doivent investir et recruter afin d’augmenter leur production. À cela s’ajoutent la hausse des prix des matières premières, les difficultés d’accès à certains composants et le coût de l’énergie. Les difficultés sont particulièrement importantes pour l’approvisionnement en moteurs, en équipements de cabine ou encore en trains d’atterrissage long-courriers, selon Airbus.