La Belgique ne se résigne pas à la condamnation à mort d’un de ses ressortissants en RDC. Jean-Jacques Wondo, ainsi que 36 autres personnes, ont été condamnés vendredi à Kinshasa et depuis, l’offensive diplomatique bat son plein.
Avec notre correspondant à Bruxelles, Pierre Benazet
Depuis la condamnation à mort de Jean-Jacques Wondo à Kinshasa, la Belgique n’a pas hésité à manifester son extrême irritation, même si à aucun moment elle ne l’a exprimé publiquement de cette manière. Expert militaire, M. Wondo était jusqu’au 19 mai un collaborateur notoire de l’Agence nationale de renseignement (ANR) de RDC. Il a été reconnu par la justice militaire comme étant un « designer ” Et ” auteur intellectuel « de ce qui a été présenté comme un coup d’État manqué.
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Officiellement, le ministère des Affaires étrangères “ n’intervient pas sur le fond de l’affaire dans le cadre du respect de la séparation des pouvoirs et de la souveraineté de chaque État “Mais depuis l’arrestation de Jean-Jacques Wondo, il y avait déjà eu de multiples appels de la famille au président congolais. Félix Tshisekedi.
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