Par
Romain Michel
Publié le
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Nouvelle APE (association de parents d’élèves), nouvelle équipe et nouveau départ pour Delphine Longpré, directrice de l’école Petit-Nicolas à Athis-de-l’Orne (Orne). Officiellement nommée pour 3 ans, la femme n’entame que son deuxième mandat après avoir été en arrêt maladie.
« L’objectif est de communiquer le plus possible avec les parents et les élus, pour bien-être « Nous devons veiller à ce que les enfants et le bon fonctionnement de l’école soient protégés », précise l’intéressé.
Une fermeture de classe pour 4 élèves
130 enfants Les élèves ont repris le chemin de l’école, lundi 2 septembre, à l’école du Petit-Nicolas. Cette année, ils sont répartis en sept classes, après la fermeture d’une d’entre elles pendant l’été. “C’est la classe de moyenne section qui a fermé”, a précisé la directrice, qui est également institutrice de maternelle.
Si huit enfants étaient attendus dès la première année, vingt bambins Les élèves se sont présentés le premier jour d’école. En conséquence, les effectifs des classes sont augmentés.
Par exemple, en maternelle, l’année scolaire 2023-2024 s’est déroulée avec trois classes pour 55 élèves, contre deux classes pour 51 enfants. Une fermeture de classe pour quatre enfants.
25 élèves par classe, c’est beaucoup.
LE deux classes sont réparties comme suit : 20 petites et 5 moyennes dans la première, et 5 moyennes et 21 grandes sections dans la seconde.
Un projet de cirque pour l’école
Du côté du primaire, une nouvelle équipe est présente. Trois enseignants découvrent les lieux, tandis que le plus expérimenté est arrivé… l’année dernière.
Les 79 élèves de l’école primaire seront répartis en quatre classes :CP, « le niveau à privilégier pour les apprentissages, notamment la lecture et l’écriture », CE1-CE2, CM1-CE2 et CM 2.
Le projet de cette année scolaire est le cirque. Compagnie Tempo sera présent sur l’étang d’Athis du 20 janvier au 7 février. « Dans la continuité des Jeux Olympiques, c’est un sport différent. Toute l’école fera des activités sous le chapiteau (jonglerie, trapèze, etc.).
Ainsi, les étudiants seront acteurs et pas seulement des spectateurs », explique le réalisateur.
« Sans l’APE, nous n’existons pas »
Le carnaval, les JO, la fête de fin d’année et les sorties scolaires à proximité rythmeront la saison. « Nous souhaitons travailler en équipe avec l’APE, qui investit beaucoup auprès des élèves. Si nous pouvons organiser des sorties, C’est grâce à eux« L’objectif premier est de permettre aux enfants d’en bénéficier », précise Delphine Longpré.
Par ailleurs, l’APE recherche des personnes motivées pour faire vivre l’association. « Nous avons besoin de mains et de soutien financier. Sans l’APE, Nous n’existons pas. Nous recevons des critiques, mais peu de parents se manifestent pour s’impliquer. » L’appel a été lancé.
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