C’est une enquête dont Nestlé se serait bien passée à la veille de l’assemblée générale des actionnaires, prévue ce jeudi 18 avril à Lausanne, alors que la multinationale vient d’être éclaboussée en France par le scandale des eaux minérales contaminées traitées par procédés. théoriquement interdit pour l’eau en bouteille.
L’ONG Public Eye et l’International Baby Food Action Network ont analysé la composition d’une centaine d’aliments pour bébés vendus par Nestlé dans le monde. Résultat : il apparaît que le groupe pratique avec bonheur “Deux poids, deux mesures”, rapporte le site Internet du Radio-Télévision Suisse (RTS).
Même si Nestlé a quasiment renoncé aux sucres ajoutés en Europe, plusieurs de ses marques continuent d’en utiliser. “à très grande échelle” dans les produits pour bébés pour les pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine, “et ce alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande de limiter drastiquement l’apport de sucre dans l’alimentation des jeunes enfants, notamment pour lutter contre l’obésité ».
Sur les 78 produits de la marque Cerelac vendus dans les pays du Sud “faible revenu”, 75 contenaient du sucre ajouté. « Avec en moyenne 4 grammes – soit un morceau de sucre – par portion, précise le rapport de Public Eye. Aux Philippines, cela non plus
C’est une enquête dont Nestlé se serait bien passée à la veille de l’assemblée générale des actionnaires, prévue ce jeudi 18 avril à Lausanne, alors que la multinationale vient d’être éclaboussée en France par le scandale des eaux minérales contaminées traitées par procédés. théoriquement interdit pour l’eau en bouteille.
L’ONG Public Eye et l’International Baby Food Action Network ont analysé la composition d’une centaine d’aliments pour bébés vendus par Nestlé dans le monde. Résultat : il apparaît que le groupe pratique avec bonheur “Deux poids, deux mesures”, rapporte le site Internet du Radio-Télévision Suisse (RTS).
Même si Nestlé a quasiment renoncé aux sucres ajoutés en Europe, plusieurs de ses marques continuent d’en utiliser. “à très grande échelle” dans les produits pour bébés pour les pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine, “et ce alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande de limiter drastiquement l’apport de sucre dans l’alimentation des jeunes enfants, notamment pour lutter contre l’obésité ».
Sur les 78 produits de la marque Cerelac vendus dans les pays du Sud “faible revenu”, 75 contenaient du sucre ajouté. « Avec en moyenne 4 grammes – soit un morceau de sucre – par portion, précise le rapport de Public Eye. Aux Philippines, cela non plus