Les intenses bombardements israéliens contre le Hezbollah, qui ont fait lundi 23 septembre près de 500 morts et forcé des dizaines de milliers de personnes à fuir le sud et l’est du Liban, sont-ils le prélude à une invasion terrestre de l’armée israélienne ?
« Les développements sur le terrain entre le Hezbollah et Israël indiquent que la confrontation entre les deux parties est devenue ouverte à tous les scénarios », a-t-il ajouté. écrit un journaliste libanais sur le site L’Arabie Indépendante. Et, de ce point de vue, poursuit-il, les événements des dernières 24 heures peuvent être lus comme la mise en œuvre de « préparatifs avant le lancement d’une opération d’invasion terrestre » et déclencher le « troisième guerre du Liban », après celles de 1982, contre l’OLP du leader palestinien Yasser Arafat, et de 2006, contre le Hezbollah.
Ce qui est sûr, c’est qu’après hier, il n’est plus question de« Ce n’est pas une escalade, ni un conflit de faible intensité, c’est la guerre », écrit le quotidien libanais L’Orient-Le Jour. « Une guerre multidimensionnelle qui n’est pas encore totale – ni dans son ampleur ni dans l’ampleur des moyens employés, à commencer par l’envoi de troupes au sol – mais qui pourrait rapidement le devenir », assure le journal francophone.
Le précédent de Gaza
Cela dépendra du rapport de
Les intenses bombardements israéliens contre le Hezbollah, qui ont fait lundi 23 septembre près de 500 morts et forcé des dizaines de milliers de personnes à fuir le sud et l’est du Liban, sont-ils le prélude à une invasion terrestre de l’armée israélienne ?
« Les développements sur le terrain entre le Hezbollah et Israël indiquent que la confrontation entre les deux parties est devenue ouverte à tous les scénarios », a-t-il ajouté. écrit un journaliste libanais sur le site L’Arabie Indépendante. Et, de ce point de vue, poursuit-il, les événements des dernières 24 heures peuvent être lus comme la mise en œuvre de « préparatifs avant le lancement d’une opération d’invasion terrestre » et déclencher le « troisième guerre du Liban », après celles de 1982, contre l’OLP du leader palestinien Yasser Arafat, et de 2006, contre le Hezbollah.
Ce qui est sûr, c’est qu’après hier, il n’est plus question de« Ce n’est pas une escalade, ni un conflit de faible intensité, c’est la guerre », écrit le quotidien libanais L’Orient-Le Jour. « Une guerre multidimensionnelle qui n’est pas encore totale – ni dans son ampleur ni dans l’ampleur des moyens employés, à commencer par l’envoi de troupes au sol – mais qui pourrait rapidement le devenir », assure le journal francophone.
Le précédent de Gaza
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