Daniel Kretinsky et Onepoint ont déposé deux offres de restructuration financière « révisées », annonce le groupe dans un communiqué.
Atos, lourdement endetté, a annoncé ce lundi 3 juin avoir reçu deux offres “modifié” restructuration financière, l’une de l’homme d’affaires tchèque Daniel Kretinsky et l’autre d’un consortium dirigé par Onepoint, son principal actionnaire, dans le but d’assurer « un soutien maximal » à l’une de ces propositions d’ici mercredi.
« Le conseil d’administration d’Atos a autorisé la direction à travailler avec les créanciers financiers de l’entreprise… pour s’assurer que chacune de ces propositions bénéficiera d’un soutien maximal. « d’ici le 5 juin 2024, avec pour objectif de parvenir à un accord définitif de restructuration financière d’ici juillet 2024 »a indiqué le groupe informatique français dans un communiqué.
350 millions d’euros de financement supplémentaire
Atos, pilier technologique des JO de Paris cet été, a annoncé avoir besoin de 1,1 milliard d’euros de liquidités pour son activité en 2024-2025 et souhaitait réduire sa dette brute de 3,2 milliards d’euros, de 4,8 milliards d’euros, pour sauvegarder son activité. . “350 millions d’euros de financements supplémentaires à court terme (sont) en cours de négociation dans le cadre des propositions financières révisées soumises”a indiqué la direction d’Atos lundi.
Parmi les deux offres “modifié” sont toujours en lice celui de l’EPEI, du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky (en discussion pour racheter une partie d’Atos, avant l’échec des négociations en février), allié au fonds Attestor, et celui de Onepoint, premier actionnaire de l’entreprise avec environ 11 % du capital, dans un consortium comprenant également la société d’investissement de l’homme d’affaires Walter Butler, la société Econocom et un groupe de « certains créanciers » d’Atos. L’offre de David Layani, patron de Onepoint, prévoyait initialement une restructuration de la dette à hauteur de 3,2 milliards d’euros et un apport de 1,8 milliard d’euros, dont 350 millions d’argent frais.
Daniel Kretinsky et Attestor avaient indiqué avoir soumis une offre « entièrement financé » pour reprendre « toute la portée d’Atos », qui prévoit l’annulation de 4 milliards d’euros de dette. Ils se sont dits prêts à apporter 1,9 milliard d’euros au groupe, dont 600 millions d’euros de fonds propres et 1,3 milliard d’euros. « financement opérationnel ». « La mise en œuvre des propositions entraînera en tout état de cause une dilution massive des actionnaires actuels d’Atos »a prévenu le groupe informatique français.
Partenaire informatique mondial du Comité International Olympique (CIO) depuis 2002, Atos sera l’un des piliers technologiques des Jeux Olympiques de Paris 2024 (26 juillet-11 août), avec pour missions de gestion des accréditations, de diffusion instantanée des résultats, ou encore la cyber-sécurité.
Daniel Kretinsky et Onepoint ont déposé deux offres de restructuration financière « révisées », annonce le groupe dans un communiqué.
Atos, lourdement endetté, a annoncé ce lundi 3 juin avoir reçu deux offres “modifié” restructuration financière, l’une de l’homme d’affaires tchèque Daniel Kretinsky et l’autre d’un consortium dirigé par Onepoint, son principal actionnaire, dans le but d’assurer « un soutien maximal » à l’une de ces propositions d’ici mercredi.
« Le conseil d’administration d’Atos a autorisé la direction à travailler avec les créanciers financiers de l’entreprise… pour s’assurer que chacune de ces propositions bénéficiera d’un soutien maximal. « d’ici le 5 juin 2024, avec pour objectif de parvenir à un accord définitif de restructuration financière d’ici juillet 2024 »a indiqué le groupe informatique français dans un communiqué.
350 millions d’euros de financement supplémentaire
Atos, pilier technologique des JO de Paris cet été, a annoncé avoir besoin de 1,1 milliard d’euros de liquidités pour son activité en 2024-2025 et souhaitait réduire sa dette brute de 3,2 milliards d’euros, de 4,8 milliards d’euros, pour sauvegarder son activité. . “350 millions d’euros de financements supplémentaires à court terme (sont) en cours de négociation dans le cadre des propositions financières révisées soumises”a indiqué la direction d’Atos lundi.
Parmi les deux offres “modifié” sont toujours en lice celui de l’EPEI, du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky (en discussion pour racheter une partie d’Atos, avant l’échec des négociations en février), allié au fonds Attestor, et celui de Onepoint, premier actionnaire de l’entreprise avec environ 11 % du capital, dans un consortium comprenant également la société d’investissement de l’homme d’affaires Walter Butler, la société Econocom et un groupe de « certains créanciers » d’Atos. L’offre de David Layani, patron de Onepoint, prévoyait initialement une restructuration de la dette à hauteur de 3,2 milliards d’euros et un apport de 1,8 milliard d’euros, dont 350 millions d’argent frais.
Daniel Kretinsky et Attestor avaient indiqué avoir soumis une offre « entièrement financé » pour reprendre « toute la portée d’Atos », qui prévoit l’annulation de 4 milliards d’euros de dette. Ils se sont dits prêts à apporter 1,9 milliard d’euros au groupe, dont 600 millions d’euros de fonds propres et 1,3 milliard d’euros. « financement opérationnel ». « La mise en œuvre des propositions entraînera en tout état de cause une dilution massive des actionnaires actuels d’Atos »a prévenu le groupe informatique français.
Partenaire informatique mondial du Comité International Olympique (CIO) depuis 2002, Atos sera l’un des piliers technologiques des Jeux Olympiques de Paris 2024 (26 juillet-11 août), avec pour missions de gestion des accréditations, de diffusion instantanée des résultats, ou encore la cyber-sécurité.