Les programmes de TV5 Monde suspendus pour deux semaines, l’accès à son site et à ceux de la Deutsche Welle, de Ouest de la France, de Monde, d’APAnews, de Gardien et l’Agence Ecofin suspendues jusqu’à nouvel ordre… « La nouvelle est tombée comme un marteau » au Burkina Faso, écrit Informations gratuites.
Dans un communiqué daté du 28 avril et relayé par Faso, le Conseil supérieur de la communication, institution contrôlée par la présidence, a critiqué ces médias internationaux pour leur « contenu tendancieux » qui accuse « l’armée burkinabè commet des exactions contre les populations civiles ».
Le point commun de ces médias est d’avoir évoqué un rapport de l’organisation Human Rights Watch (HRW) intitulé « L’armée a massacré 223 villageois ». Il documente les meurtres survenus le 25 février dans deux villages de la région du Nord, Nondin et Soro.
C’est « des représailles perpétrées par les forces de sécurité (burkinabés) contre la population civile, accusée d’être complice, de collaborer, de soutenir les jihadistes qui contrôlent pourtant la zone »
Les programmes de TV5 Monde suspendus pour deux semaines, l’accès à son site et à ceux de la Deutsche Welle, de Ouest de la France, de Monde, d’APAnews, de Gardien et l’Agence Ecofin suspendues jusqu’à nouvel ordre… « La nouvelle est tombée comme un marteau » au Burkina Faso, écrit Informations gratuites.
Dans un communiqué daté du 28 avril et relayé par Faso, le Conseil supérieur de la communication, institution contrôlée par la présidence, a critiqué ces médias internationaux pour leur « contenu tendancieux » qui accuse « l’armée burkinabè commet des exactions contre les populations civiles ».
Le point commun de ces médias est d’avoir évoqué un rapport de l’organisation Human Rights Watch (HRW) intitulé « L’armée a massacré 223 villageois ». Il documente les meurtres survenus le 25 février dans deux villages de la région du Nord, Nondin et Soro.
C’est « des représailles perpétrées par les forces de sécurité (burkinabés) contre la population civile, accusée d’être complice, de collaborer, de soutenir les jihadistes qui contrôlent pourtant la zone »