Le 7 avril, Pascal Sleimane, coordinateur local des Forces libanaises, parti chrétien opposé au Hezbollah, a été enlevé sur les hauteurs de Jbeil, au nord de Beyrouth. Quelques heures plus tard, il a été retrouvé mort en Syrie, selon l’armée libanaise, qui impute son enlèvement à un « Gang syrien ».
Cette affaire, qui a suscité une grande émotion au Liban, plus particulièrement au sein de la communauté chrétienne, “a déclenché une nouvelle vague de violences racistes” À travers le pays, « nous sommes témoins d’une effroyable escalade des discours de haine et de l’incitation à la violence contre les réfugiés syriens », écrit le site de l’opposition syrienne Al Joumhouriya.
Le Liban accueille plusieurs centaines de milliers de ressortissants syriens ayant fui la guerre dans leur pays depuis 2011 – plus de 1,5 million, selon les autorités libanaises, dont près de 800 000 enregistrés auprès des services de l’ONU. Ils représentent désormais plus d’un quart de la population du Liban, ce qui en fait le pays ayant la plus forte densité de réfugiés au monde.
« Violences collectives »
Comment, selon Al-Jumhuriya, manifesté cela “nous
Le 7 avril, Pascal Sleimane, coordinateur local des Forces libanaises, parti chrétien opposé au Hezbollah, a été enlevé sur les hauteurs de Jbeil, au nord de Beyrouth. Quelques heures plus tard, il a été retrouvé mort en Syrie, selon l’armée libanaise, qui impute son enlèvement à un « Gang syrien ».
Cette affaire, qui a suscité une grande émotion au Liban, plus particulièrement au sein de la communauté chrétienne, “a déclenché une nouvelle vague de violences racistes” À travers le pays, « nous sommes témoins d’une effroyable escalade des discours de haine et de l’incitation à la violence contre les réfugiés syriens », écrit le site de l’opposition syrienne Al Joumhouriya.
Le Liban accueille plusieurs centaines de milliers de ressortissants syriens ayant fui la guerre dans leur pays depuis 2011 – plus de 1,5 million, selon les autorités libanaises, dont près de 800 000 enregistrés auprès des services de l’ONU. Ils représentent désormais plus d’un quart de la population du Liban, ce qui en fait le pays ayant la plus forte densité de réfugiés au monde.
« Violences collectives »
Comment, selon Al-Jumhuriya, manifesté cela “nous