« Il a fallu la pluie bienfaisante du 6 mai pour faire baisser le thermomètre » en écrivant L’économiste du Faso. A Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, les premières pluies ont eu une saveur particulière cette année, alors que la population est confrontée à une canicule sans précédent, comme au Mali et au Niger. Au point que cette première pluie à Ouagadougou, « aussi abondant soit-il », n’a provoqué qu’un léger refroidissement. La chaleur tenace est retombée “moins de quarante-huit heures plus tard”, rapporte l’hebdomadaire.
La canicule, poursuit-il, s’est installée au mois de mars. Un mois réputé chaud, comme ceux d’avril et mai. Sauf que cette année, le mercure frôlait les 45°C à l’ombre, et les nuits «étaient également invivables».
“Sur un trimestre, il n’y a donc eu aucun répit avec des jours et des nuits qui se succédaient, se ressemblaient et rivalisaient en termes de canicule.”
Environ 35 patients par jour
16 avril, dans les colonnes du site d’information Faso, LE
« Il a fallu la pluie bienfaisante du 6 mai pour faire baisser le thermomètre » en écrivant L’économiste du Faso. A Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, les premières pluies ont eu une saveur particulière cette année, alors que la population est confrontée à une canicule sans précédent, comme au Mali et au Niger. Au point que cette première pluie à Ouagadougou, « aussi abondant soit-il », n’a provoqué qu’un léger refroidissement. La chaleur tenace est retombée “moins de quarante-huit heures plus tard”, rapporte l’hebdomadaire.
La canicule, poursuit-il, s’est installée au mois de mars. Un mois réputé chaud, comme ceux d’avril et mai. Sauf que cette année, le mercure frôlait les 45°C à l’ombre, et les nuits «étaient également invivables».
“Sur un trimestre, il n’y a donc eu aucun répit avec des jours et des nuits qui se succédaient, se ressemblaient et rivalisaient en termes de canicule.”
Environ 35 patients par jour
16 avril, dans les colonnes du site d’information Faso, LE