La protestation contre la guerre à Gaza s’est étendue à de nombreux campus aux États-Unis, souligne Le New York Times en me rappelant que ceci “Une vague d’activisme étudiant a été déclenchée par l’arrestation d’au moins 108 manifestants à l’Université de Columbia le 18 avril”, après que le président de l’université, Nemat Shafik, ait demandé à la police new-yorkaise d’intervenir pour démanteler un premier campement.
Depuis, souligne le quotidien new-yorkais, les interventions policières sur plusieurs campus ont conduit à “plus de 800 arrestations”. Si la plupart des manifestations et occupations se déroulent dans le calme et si de nombreuses universités, publiques ou privées, ont opté pour le laissez-faire, des affrontements ont pu avoir lieu à certains endroits entre manifestants et contre-manifestants, ou avec la police.
Des étudiants pro-israéliens affirment que les camps soutiennent la Palestine « alimentent l’antisémitisme et que leurs universités n’en font pas assez pour assurer leur sécurité sur le campus », note également le journal.
Parmi les universités où un grand nombre de personnes ont été arrêtées au cours de la semaine du 22 au 28 avril, le quotidien cite l’université de Yale, dans le Connecticut (60 arrestations), l’université de Californie du Sud à Los Angeles (USC, 93 arrestations) ou encore Emory. Université, en Géorgie (plus de 28 arrestations), où la police “aurait utilisé des gaz lacrymogènes et des Tasers contre les manifestants”, souligne pour sa part Le gardien.
La protestation contre la guerre à Gaza s’est étendue à de nombreux campus aux États-Unis, souligne Le New York Times en me rappelant que ceci “Une vague d’activisme étudiant a été déclenchée par l’arrestation d’au moins 108 manifestants à l’Université de Columbia le 18 avril”, après que le président de l’université, Nemat Shafik, ait demandé à la police new-yorkaise d’intervenir pour démanteler un premier campement.
Depuis, souligne le quotidien new-yorkais, les interventions policières sur plusieurs campus ont conduit à “plus de 800 arrestations”. Si la plupart des manifestations et occupations se déroulent dans le calme et si de nombreuses universités, publiques ou privées, ont opté pour le laissez-faire, des affrontements ont pu avoir lieu à certains endroits entre manifestants et contre-manifestants, ou avec la police.
Des étudiants pro-israéliens affirment que les camps soutiennent la Palestine « alimentent l’antisémitisme et que leurs universités n’en font pas assez pour assurer leur sécurité sur le campus », note également le journal.
Parmi les universités où un grand nombre de personnes ont été arrêtées au cours de la semaine du 22 au 28 avril, le quotidien cite l’université de Yale, dans le Connecticut (60 arrestations), l’université de Californie du Sud à Los Angeles (USC, 93 arrestations) ou encore Emory. Université, en Géorgie (plus de 28 arrestations), où la police “aurait utilisé des gaz lacrymogènes et des Tasers contre les manifestants”, souligne pour sa part Le gardien.