Publié
Mise à jour
Durée de la vidéo : 5 minutes
Après l’agression de policiers dans un commissariat du 13ème arrondissement de Paris, le 13/11 info a interrogé Yann Bastière, délégué national du syndicat de police Unité SGP
L’individu qui a blessé des policiers dans le commissariat du 13e arrondissement de Paris a d’abord saisi l’arme d’un policier alors que celui-ci soufflait dans un alcootest. “Une enquête est en cours (…) pour déterminer ce qui s’est passé sur place”rappelle Yann Bastière, délégué national du syndicat de police Unité SGP. “Mais quand on croise un individu déterminé à ‘tuer un flic’tu vois jusqu’où ça peut aller”il ajoute.
Habituellement, l’étui d’une arme est sécurisé
Y avait-il un défaut avec cette arme de service ? Normalement, “l’étui est sécurisé par un arceau qui empêche les individus de saisir l’arme ou empêche l’arme de tomber”, précise Yann Bastière. « Avant ce drame, il y a eu une intervention de haute intensité avec mes collègues du groupe d’entraide de quartier, qui sont intervenus auprès d’une personne potentiellement en danger de mort », il continue. L’arme aurait alors pu être déverrouillée à ce moment-là. Le suspect a également tenté d’attaquer la vie de sa compagne avec un cutter. Pour Yann Bastière, “La réponse de la justice doit être ferme.”
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Après l’agression de policiers dans un commissariat du 13ème arrondissement de Paris, le 13/11 info a interrogé Yann Bastière, délégué national du syndicat de police Unité SGP
L’individu qui a blessé des policiers dans le commissariat du 13e arrondissement de Paris a d’abord saisi l’arme d’un policier alors que celui-ci soufflait dans un alcootest. “Une enquête est en cours (…) pour déterminer ce qui s’est passé sur place”rappelle Yann Bastière, délégué national du syndicat de police Unité SGP. “Mais quand on croise un individu déterminé à ‘tuer un flic’tu vois jusqu’où ça peut aller”il ajoute.
Habituellement, l’étui d’une arme est sécurisé
Y avait-il un défaut avec cette arme de service ? Normalement, “l’étui est sécurisé par un arceau qui empêche les individus de saisir l’arme ou empêche l’arme de tomber”, précise Yann Bastière. « Avant ce drame, il y a eu une intervention de haute intensité avec mes collègues du groupe d’entraide de quartier, qui sont intervenus auprès d’une personne potentiellement en danger de mort », il continue. L’arme aurait alors pu être déverrouillée à ce moment-là. Le suspect a également tenté d’attaquer la vie de sa compagne avec un cutter. Pour Yann Bastière, “La réponse de la justice doit être ferme.”