« Parmi le petit nombre de commissaires européens capables de défier von der Leyen, il n’en reste pas un seul », en écrivant Politique. Pour ça média de référence sur les affaires européennes, le Président de la Commission « a un message très clair pour son équipe : « Le premier qui bronche devra s’en prendre à moi »“Mardi 17 septembre, Ursula von der Leyen a présenté sa nouvelle équipe, et l’absence de Thierry Breton – qui avait lui-même annoncé la veille sa démission (un peu forcée) – a suscité un constat alarmant sur le site d’information bruxellois.
Von der Leyen s’est débarrassée de ses adversaires en interne, et il ne s’agit pas seulement du Français (remplacé par Stéphane Séjourné). « Parmi la poignée de commissaires qui ont été les plus durs avec von der Leyen, aucun ne reste », « Fini donc Josep Borell, ancien chef de la diplomatie européenne, qui ne partageait pas la ligne allemande sur le conflit entre Israël et le Hamas. Fini Nicolas Schmit, commissaire à l’emploi, aux affaires sociales et à l’intégration, et enfin, fini Paolo Gentiloni, commissaire aux affaires économiques. »
« Une Commission faible qui émerge seule »
« Ursula bis veut avoir carte blanche, souligne Là
« Parmi le petit nombre de commissaires européens capables de défier von der Leyen, il n’en reste pas un seul », en écrivant Politique. Pour ça média de référence sur les affaires européennes, le Président de la Commission « a un message très clair pour son équipe : « Le premier qui bronche devra s’en prendre à moi »“Mardi 17 septembre, Ursula von der Leyen a présenté sa nouvelle équipe, et l’absence de Thierry Breton – qui avait lui-même annoncé la veille sa démission (un peu forcée) – a suscité un constat alarmant sur le site d’information bruxellois.
Von der Leyen s’est débarrassée de ses adversaires en interne, et il ne s’agit pas seulement du Français (remplacé par Stéphane Séjourné). « Parmi la poignée de commissaires qui ont été les plus durs avec von der Leyen, aucun ne reste », « Fini donc Josep Borell, ancien chef de la diplomatie européenne, qui ne partageait pas la ligne allemande sur le conflit entre Israël et le Hamas. Fini Nicolas Schmit, commissaire à l’emploi, aux affaires sociales et à l’intégration, et enfin, fini Paolo Gentiloni, commissaire aux affaires économiques. »
« Une Commission faible qui émerge seule »
« Ursula bis veut avoir carte blanche, souligne Là