Pour le vice-président (LR) de la région Île-de-France et ancien directeur général de la Police nationale, invité lundi sur franceinfo, il était logique d’envisager des alternatives à la cérémonie d’ouverture des Jeux de Paris le 26 juillet.
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Mise à jour
Temps de lecture : 1 min
Invité de franceinfo lundi 15 avril, Frédéric Péchenard, vice-président des Républicains de la région Île-de-France et ancien directeur général de la police nationale, a déclaré « incontestablement » rassuré après les alternatives présentées par Emmanuel Macron pour organiser la cérémonie d’ouverture des Jeux de Paris. Le chef de l’Etat a indiqué qu’en cas de forte menace terroriste, cette cérémonie prévue sur la Seine pourrait être cantonnée au Trocadéro voire être rapatriée au Stade de France.
L’annonce de ce plan B intervient trois mois avant la cérémonie d’ouverture, organisée le 26 juillet. « J’aurais souhaité que les responsables de la sécurité aient envisagé un plan B » avant les déclarations d’Emmanuel Macron, poursuit-il. « C’est maintenant sur la table, c’est officiel et franchement, c’est bien. Tout cela me semble plus raisonnable. »
Le risque terroriste est plus grand depuis le 7 octobre
Ce plan B était une nécessité évoquée en décembre dernier par Frédéric Péchenard. « Il m’a semblé absolument indispensable de réfléchir à un plan B. Cela ne veut pas dire qu’il faut forcément le mettre en œuvre, mais il faut l’avoir en réserve »souligne-t-il.
« Lorsque la cérémonie d’ouverture était prévue, le risque terroriste n’était pas aussi grand qu’aujourd’hui »ajoute Frédéric Péchenard. « Il y a eu le 7 octobre et l’attaque du Hamas, la guerre dans la bande de Gaza, la guerre en Ukraine, l’attaque revendiquée par Daesh en Russie, l’attaque contre l’Iran récemment. Et nous savons que « Chaque fois qu’un événement international survient, il peut y avoir des répercussions sur notre sol »souligne-t-il.
Pour le vice-président (LR) de la région Île-de-France et ancien directeur général de la Police nationale, invité lundi sur franceinfo, il était logique d’envisager des alternatives à la cérémonie d’ouverture des Jeux de Paris le 26 juillet.
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Invité de franceinfo lundi 15 avril, Frédéric Péchenard, vice-président des Républicains de la région Île-de-France et ancien directeur général de la police nationale, a déclaré « incontestablement » rassuré après les alternatives présentées par Emmanuel Macron pour organiser la cérémonie d’ouverture des Jeux de Paris. Le chef de l’Etat a indiqué qu’en cas de forte menace terroriste, cette cérémonie prévue sur la Seine pourrait être cantonnée au Trocadéro voire être rapatriée au Stade de France.
L’annonce de ce plan B intervient trois mois avant la cérémonie d’ouverture, organisée le 26 juillet. « J’aurais souhaité que les responsables de la sécurité aient envisagé un plan B » avant les déclarations d’Emmanuel Macron, poursuit-il. « C’est maintenant sur la table, c’est officiel et franchement, c’est bien. Tout cela me semble plus raisonnable. »
Le risque terroriste est plus grand depuis le 7 octobre
Ce plan B était une nécessité évoquée en décembre dernier par Frédéric Péchenard. « Il m’a semblé absolument indispensable de réfléchir à un plan B. Cela ne veut pas dire qu’il faut forcément le mettre en œuvre, mais il faut l’avoir en réserve »souligne-t-il.
« Lorsque la cérémonie d’ouverture était prévue, le risque terroriste n’était pas aussi grand qu’aujourd’hui »ajoute Frédéric Péchenard. « Il y a eu le 7 octobre et l’attaque du Hamas, la guerre dans la bande de Gaza, la guerre en Ukraine, l’attaque revendiquée par Daesh en Russie, l’attaque contre l’Iran récemment. Et nous savons que « Chaque fois qu’un événement international survient, il peut y avoir des répercussions sur notre sol »souligne-t-il.