En Azerbaïdjan, les élections ont été avancées de deux mois pour ne pas gêner l’organisation par Bakou de la COP29, le grand sommet de l’ONU sur le climat. Un paradoxe pour un pays dont l’économie reste largement tournée vers les énergies fossiles. Cette position lui permet, malgré le conflit avec l’Arménie, d’entretenir de bonnes relations avec l’Europe de l’Ouest et son voisin russe.