Le résistant Missak Manouchian avait notamment débarqué à Marseille en 1924, après avoir fui le génocide arménien.
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Temps de lecture : 1 min
A deux jours des cérémonies du génocide arménien, le maire de Marseille annonce qu’il va jumeler la ville de Marseille avec Erevan, capitale de l’Arménie, rapporte France Bleu Provence lundi 22 avril. Sur son compte X, Benoît Payan a écrit : « Je propose que Marseille et Erevan deviennent des villes jumelées pour l’éternité ». Il veut jumeler officiellement les deux villes “pour que les enfants de Marseille et les enfants d’Erevan se connaissent et grandissent ensemble.”
Au même moment, la façade de l’hôtel de ville de Marseille était illuminée de rouge, orange et bleu, couleurs du drapeau arménien. Les visages des résistants récemment panthéonisés, Mélinée et Missak Manouchian, ont également été projetés sur l’hôtel de ville. Aujourd’hui, environ 80 000 personnes d’origine arménienne vivent à Marseille, soit 10 % de la population.
Le résistant Missak Manouchian avait notamment débarqué à Marseille en 1924, après avoir fui le génocide arménien.
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A deux jours des cérémonies du génocide arménien, le maire de Marseille annonce qu’il va jumeler la ville de Marseille avec Erevan, capitale de l’Arménie, rapporte France Bleu Provence lundi 22 avril. Sur son compte X, Benoît Payan a écrit : « Je propose que Marseille et Erevan deviennent des villes jumelées pour l’éternité ». Il veut jumeler officiellement les deux villes “pour que les enfants de Marseille et les enfants d’Erevan se connaissent et grandissent ensemble.”
Au même moment, la façade de l’hôtel de ville de Marseille était illuminée de rouge, orange et bleu, couleurs du drapeau arménien. Les visages des résistants récemment panthéonisés, Mélinée et Missak Manouchian, ont également été projetés sur l’hôtel de ville. Aujourd’hui, environ 80 000 personnes d’origine arménienne vivent à Marseille, soit 10 % de la population.