Bernardo Silva le sauveur, Nicolas Jackson récolté… Les tops et les flops

HAUTS

Bernardo Silva, le sauveur

Aligné sur le côté droit de l’attaque de Manchester City, Bernardo Silva n’a pas eu son influence habituelle. Peu touché, le Portugais n’a fait (presque) aucune différence au niveau des dribbles ou des passes, comme il sait si bien le faire. Et pourtant… Peu avant la fin du temps réglementaire, c’est lui qui ouvre le score en reprenant du pied gauche un centre de Kevin De Bruyne dévié par Dorde Petrovic. Un but qui permet aux Citizens de se qualifier pour la finale de la FA Cup (1-0)…et donc de défendre leur titre !

Jérémy Doku le dynamiteur

Il y a eu un avant et un après Jérémy Doku. Avec Jack Grealish, dès ce samedi après-midi, Manchester City a eu du mal à créer des différences. Avec le Belge, qui a remplacé le Britannique peu après l’heure de jeu (66e), les Citizens se sont montrés plus mordants, plus incisifs et ont (logiquement) obtenu des situations plus claires. Et il n’est pas surprenant que la solution soit venue de lui. A la 84e minute de jeu, l’ex-Rennais trouvait astucieusement Kevin De Bruyne dans la surface de réparation… qui pouvait alors offrir une passe décisive à Bernardo Silva. Une entrée décisive !

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Des flops

Nicolas Jackson trop imprécis

Installé à la pointe de l’attaque de Chelsea, Nicolas Jackson s’est créé plusieurs occasions franches au cours du match. Mais il a parfois tergiversé, comme à la demi-heure de jeu, où il n’a pas osé tenter sa chance alors qu’il était seul face à Stefan Ortega. Il a également manqué de réalisme à plusieurs reprises, comme à la 49e minute de jeu, où il n’a pas réussi à marquer malgré une incroyable double occasion. C’est dommage pour les Bleus car ils avaient les situations pour prendre l’avantage.

Cole Palmer (trop) discret

Positionné derrière Nicolas Jackson, Cole Palmer n’a pas réalisé un mauvais match en soi. Mais vu son statut – co-meilleur buteur de Premier League avec Erling Haaland – et son importance dans le jeu de Chelsea, on s’attendait à un peu plus. Ou du moins, nous espérions le voir beaucoup plus net. En effet, hormis un bel enchaînement crochet-frappe peu avant la pause (37e) et une magnifique ouverture de Moses Caicedo en seconde période, le Britannique n’a pas fait beaucoup de différence. Et pour se qualifier pour la finale, les Bleus avaient absolument besoin qu’il en fasse plus.