L’« accord de principe » conclu dimanche 8 septembre entre Boeing et les syndicats représentant 33 000 salariés doivent « pour éviter la grève qui menaçait d’interrompre la production » du constructeur aéronautique américain, note Le New York Times.
Déjà embourbé dans des déboires techniques, le constructeur ne pouvait guère se permettre d’y ajouter un conflit social. L’accord, qui devra être approuvé le 12 septembre par un vote de l’ensemble du personnel, est, selon les syndicats, « le meilleur qu’ils aient jamais eu ».
Il planifie « 25 % d’augmentation sur quatre ans », certes en dessous des 40% demandés, explique le quotidien américain, mais comprend « d’autres avancées, notamment une amélioration des soins de santé et des retraites, ainsi qu’une promesse de construire le prochain avion commercial de la société autour de Seattle et Portland. »
Une « proposition historique »
Si les employés approuvent et mettent fin à leur préavis, ils recevront une prime de 3 000 dollars, a indiqué la direction du groupe. Pour Stephanie Pope, directrice de la division aérienne, il s’agit d’une « proposition historique » qui leur est fait.
Avec cet accord, le nouveau PDG du groupe, Kelly Ortberg, résoudrait « l’une des questions les plus urgentes à l’ordre du jour » de l’entreprise américaine. Le PDG qui a pris ses fonctions il y a à peine un mois « j’ai hérité d’une entreprise en crise ».
L’accident spectaculaire de janvier, lorsque la porte d’un 737 Max a été arrachée en vol, « a réveillé les inquiétudes apparues il y a cinq ans sur la qualité et la sécurité des avions Boeing », après les deux accidents mortels du 737 Max en 2018 et 2019.
Cet été, la réputation du constructeur a encore été ternie par les mésaventures spatiales de Starliner. Sa capsule est finalement revenue sur Terre, sans les deux astronautes contraints de rester dans la Station spatiale internationale, suite à des pannes de propulseurs et des fuites d’hélium.
L’« accord de principe » conclu dimanche 8 septembre entre Boeing et les syndicats représentant 33 000 salariés doivent « pour éviter la grève qui menaçait d’interrompre la production » du constructeur aéronautique américain, note Le New York Times.
Déjà embourbé dans des déboires techniques, le constructeur ne pouvait guère se permettre d’y ajouter un conflit social. L’accord, qui devra être approuvé le 12 septembre par un vote de l’ensemble du personnel, est, selon les syndicats, « le meilleur qu’ils aient jamais eu ».
Il planifie « 25 % d’augmentation sur quatre ans », certes en dessous des 40% demandés, explique le quotidien américain, mais comprend « d’autres avancées, notamment une amélioration des soins de santé et des retraites, ainsi qu’une promesse de construire le prochain avion commercial de la société autour de Seattle et Portland. »
Une « proposition historique »
Si les employés approuvent et mettent fin à leur préavis, ils recevront une prime de 3 000 dollars, a indiqué la direction du groupe. Pour Stephanie Pope, directrice de la division aérienne, il s’agit d’une « proposition historique » qui leur est fait.
Avec cet accord, le nouveau PDG du groupe, Kelly Ortberg, résoudrait « l’une des questions les plus urgentes à l’ordre du jour » de l’entreprise américaine. Le PDG qui a pris ses fonctions il y a à peine un mois « j’ai hérité d’une entreprise en crise ».
L’accident spectaculaire de janvier, lorsque la porte d’un 737 Max a été arrachée en vol, « a réveillé les inquiétudes apparues il y a cinq ans sur la qualité et la sécurité des avions Boeing », après les deux accidents mortels du 737 Max en 2018 et 2019.
Cet été, la réputation du constructeur a encore été ternie par les mésaventures spatiales de Starliner. Sa capsule est finalement revenue sur Terre, sans les deux astronautes contraints de rester dans la Station spatiale internationale, suite à des pannes de propulseurs et des fuites d’hélium.