Dans ses mémoires à venir, l’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson affirme que la reine Elizabeth II a souffert d’une « forme de cancer des os » au cours de ses derniers jours. L’ancien monarque britannique est décédé le 8 septembre 2022 à l’âge de 96 ans, après 70 ans de règne.
Le Daily Mail dévoile des extraits de cette autobiographie intitulée Déchaîné attendu le 10 octobre (et le 20 novembre en France sous le titre Indomptablepublié par Stock). Dans l’une d’elles, relayée par CNN, Boris Johnson revient sur sa dernière visite auprès de la reine d’Angleterre, dans le château écossais de Balmoral, où elle a rendu son dernier souffle.
“Je savais depuis environ un an qu’elle souffrait d’une forme de cancer des os et ses médecins craignaient que son état ne se détériore à tout moment”, a-t-il écrit.
En novembre 2022, le biographe Gyles Brandreth révélait dans son livre que la reine souffrait d’un cancer de la moelle osseuse. Elizabeth : un portrait intime. Mais les écrits de Boris Johnson sont une première confirmation de ce qui était jusqu’ici une rumeur.
Le certificat de décès de la reine Elizabeth mentionne simplement son âge avancé comme cause du décès. Et rappelez-vous que Buckingham a pour politique de ne pas commenter les livres évoquant la famille royale. En fait, la couronne n’a pas réagi à cette révélation.
Boris Johnson venait de passer la main à Liz Truss lorsque la reine est décédée. La dernière photo officielle de la monarque la montre recevant le nouveau Premier ministre, le 6 septembre 2022.
Boris Johnson raconte qu’à son arrivée à Balmoral, le secrétaire particulier du monarque, Edward Young, l’a informé que son état s’était détérioré au cours de l’été. « Elle était pâle, plus courbée et elle avait des bleus sombres sur les mains et les poignets », raconte-t-il dans son livre. “Probablement à cause des intraveineuses et des injections.”
“Mais son esprit… était absolument intact malgré sa maladie, et de temps en temps, au cours de notre conversation, elle présentait son grand sourire, dans toute sa soudaine beauté réconfortante.”
“Elle avait une telle éthique, une telle envie de servir son pays, une telle patience et un tel leadership qu’on avait vraiment l’impression qu’on pouvait, s’il le fallait, mourir pour elle”, conclut-il.
Article original publié sur BFMTV.com
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