« L’Argentine de l’ultraconservateur Javier Milei est devenue un refuge pour des dizaines de partisans de Bolsonaro fuyant la justice brésilienne », notez les correspondants à Buenos Aires et São Paulo du quotidien espagnol Le Pèrejem.
Ils ont pu rencontrer certains d’entre eux « extrémistes », accusés ou, pour certains, déjà condamnés à une peine de prison de« avoir au moins quatorze ans » de prison par la Cour suprême brésilienne pour avoir participé aux émeutes putschistes du 8 janvier 2023 contre le siège des institutions, à Brasilia, une semaine après l’investiture du leader de gauche Luiz Inácio Lula da Silva, élu de justesse face à son prédécesseur d’extrême droite, Jair Bolsonaro.
Eux « proclament leur innocence et affirment être victimes de persécution politique » menée contre l’opposition par Lula et le juge Alexandre de Moraes, qui a dirigé plusieurs enquêtes de la Cour suprême sur l’ancien dirigeant, ses proches et ses alliés.
En résidence surveillée, ces partisans de Bolsonar « prétendent avoir cassé leur bracelet électronique » avant de fuir vers l’Argentine. « Certains ont traversé la frontière en bus, d’autres en voiture ou même à vélo », explique l’article du journal espagnol. Une fois sur place, « La première étape pour les nouveaux arrivants était de se rendre à la Commission nationale des réfugiés et
« L’Argentine de l’ultraconservateur Javier Milei est devenue un refuge pour des dizaines de partisans de Bolsonaro fuyant la justice brésilienne », notez les correspondants à Buenos Aires et São Paulo du quotidien espagnol Le Pèrejem.
Ils ont pu rencontrer certains d’entre eux « extrémistes », accusés ou, pour certains, déjà condamnés à une peine de prison de« avoir au moins quatorze ans » de prison par la Cour suprême brésilienne pour avoir participé aux émeutes putschistes du 8 janvier 2023 contre le siège des institutions, à Brasilia, une semaine après l’investiture du leader de gauche Luiz Inácio Lula da Silva, élu de justesse face à son prédécesseur d’extrême droite, Jair Bolsonaro.
Eux « proclament leur innocence et affirment être victimes de persécution politique » menée contre l’opposition par Lula et le juge Alexandre de Moraes, qui a dirigé plusieurs enquêtes de la Cour suprême sur l’ancien dirigeant, ses proches et ses alliés.
En résidence surveillée, ces partisans de Bolsonar « prétendent avoir cassé leur bracelet électronique » avant de fuir vers l’Argentine. « Certains ont traversé la frontière en bus, d’autres en voiture ou même à vélo », explique l’article du journal espagnol. Une fois sur place, « La première étape pour les nouveaux arrivants était de se rendre à la Commission nationale des réfugiés et