Une journée dédiée à la mode… Mardi 24 septembre 2024, Brigitte Macron a reçu Sonja de Norvège à l’Élysée. Après avoir discuté dans son bureau, les deux femmes, qui s’étaient rencontrées lors d’un voyage à Rouen en septembre 2018, ont déjeuné ensemble. En début d’après-midi, la Première dame et la reine consort de Norvège se sont rendues au Défilé Dior prêt-à-porter printemps été 2025.
Pour l’occasion, Brigitte Macron portait un tailleur noir qui arrivait au-dessus des genoux, des collants noirs, une paire d’escarpins assortis et un Sac Lady Dior. Pour compléter son look, l’épouse d’Emmanuel Macron portait un collier à deux rangs de perles. Sur place, la Première dame et Sonja de Norvège ont posé aux côtés de Delphine Arnault, PDG de Dior, avant de rejoindre Bernard Arnault et Natalie Portman au premier rang du défilé.
Brigitte Macron : « Cette apparition donne l’impression que je suis une femme libre »
Si la Première dame portait une jupe courte, elle a été critiquée à plusieurs reprises pour cela. Le 21 mars 2024, dans les colonnes de Madame Figaro, elle analysait : « Si je crois ce que j’entends, Les femmes de mon âge sont très heureuses que je m’habille comme ça :Je ne sais pas pourquoi, mais cette apparence donne l’impression que je suis une femme libre. C’est une image que je dégage sans le savoir.”.
Bien avant d’être sous le feu des projecteurs, Brigitte Macron aimait les beaux vêtements. « Quand j’étais enseignante, je ne pouvais pas imaginer enseigner sans être habillée, coiffée, maquillée. Mon uniforme était un jean, un t-shirt et des talons aiguilles. C’est mon style, mais je ne peux pas dire que j’en avais vraiment les codes.”elle avait indiqué.
Brigitte Macron, une icône de mode ?
En juillet 2017, Brigitte Macron avait déjà révélé sur France Info qu’elle était fière d’incarner la mode française à l’étranger.
« Quand je voyage, on me parle sans cesse de ma façon de m’habiller, de l’importance de la mode, et j’entends sans cesse que Paris est numéro un. C’est un art, un art total. Je suis très fier si je peux contribuer un peu à donner une forme de visibilité“elle a assuré.
Au début de l’année, elle assurait cependant qu’elle n’était pas une icône. « D’un autre côté, j’ai compris qu’en portant ces vêtements, je montre au monde ce que font les ateliers en France. Je me vois donc davantage comme une ambassadrice. »elle avait estimé avant de préciser qu’elle tenait à
mettre en avant le savoir-faire français à travers les vêtements et les accessoires qu’elle portait.