Bruno Le Maire a convoqué dans les prochains jours le PDG de la SNCF, Jean-Pierre Farandou, afin qu’il “responsabilité” après un accord trouvé avec les syndicats sur les fins de carrière que le ministre de l’Economie et des Finances a qualifié, jeudi 2 mai, de “pas satisfaisant” Et “provocant”.
« J’ai, en partie, avec d’autres, la tutelle de la SNCF, notamment la tutelle financière. Un accord est signé qui engage effectivement les soldes de la réforme des retraites et les équilibres financiers de la SNCF. Je n’ai pas été prévenu »a déclaré M. Le Maire, interviewé sur BFM-TV/RMC.
Le 22 avril, les quatre syndicats représentatifs de la SNCF ont signé un accord avec la direction sur la fin de carrière des cheminots, une unanimité rare au sein du groupe public ferroviaire qui a permis de conjurer la menace d’une nouvelle grève des contrôleurs. pendant les vacances de mai.
L’accord, critiqué par la droite qui l’accuse de contourner la réforme des retraites, prévoit entre autres une amélioration du système de retraite anticipée, notamment pour les cheminots ayant occupé des postes avérés pénibles.
Le ministre a convoqué Jean-Pierre Farandou “dans les prochains jours” afin qu’il « être responsable de cet accord qui donne un sentiment de double standard et qui est très provocateur pour beaucoup de nos compatriotes travailleurs qui ont accepté la réforme des retraites ».
“Je veux qu’il m’explique comment il finance cet accord qu’il a conclu avec les syndicats sans que nous en soyons informés”a déclaré Bruno Le Maire. “Cet accord n’est pas satisfaisant à mes yeux et il y a eu un dysfonctionnement (…) ça pose des problèmes financiers”, a-t-il affirmé. Le ministre a rappelé que l’Etat avait aidé la SNCF à rééquilibrer ses comptes avec 35 milliards d’euros de recouvrement de créances en 2018 et qu’il ” lieu “ pour lui demander des comptes.
Bruno Le Maire a convoqué dans les prochains jours le PDG de la SNCF, Jean-Pierre Farandou, afin qu’il “responsabilité” après un accord trouvé avec les syndicats sur les fins de carrière que le ministre de l’Economie et des Finances a qualifié, jeudi 2 mai, de “pas satisfaisant” Et “provocant”.
« J’ai, en partie, avec d’autres, la tutelle de la SNCF, notamment la tutelle financière. Un accord est signé qui engage effectivement les soldes de la réforme des retraites et les équilibres financiers de la SNCF. Je n’ai pas été prévenu »a déclaré M. Le Maire, interviewé sur BFM-TV/RMC.
Le 22 avril, les quatre syndicats représentatifs de la SNCF ont signé un accord avec la direction sur la fin de carrière des cheminots, une unanimité rare au sein du groupe public ferroviaire qui a permis de conjurer la menace d’une nouvelle grève des contrôleurs. pendant les vacances de mai.
L’accord, critiqué par la droite qui l’accuse de contourner la réforme des retraites, prévoit entre autres une amélioration du système de retraite anticipée, notamment pour les cheminots ayant occupé des postes avérés pénibles.
Le ministre a convoqué Jean-Pierre Farandou “dans les prochains jours” afin qu’il « être responsable de cet accord qui donne un sentiment de double standard et qui est très provocateur pour beaucoup de nos compatriotes travailleurs qui ont accepté la réforme des retraites ».
“Je veux qu’il m’explique comment il finance cet accord qu’il a conclu avec les syndicats sans que nous en soyons informés”a déclaré Bruno Le Maire. “Cet accord n’est pas satisfaisant à mes yeux et il y a eu un dysfonctionnement (…) ça pose des problèmes financiers”, a-t-il affirmé. Le ministre a rappelé que l’Etat avait aidé la SNCF à rééquilibrer ses comptes avec 35 milliards d’euros de recouvrement de créances en 2018 et qu’il ” lieu “ pour lui demander des comptes.