“En fin de compte, on va frapper les entreprises de taille moyenne et on va les emmerder, on va frapper les gens moins riches que moi et on va les empêcher d’investir, » a-t-il déclaré mardi sur France Inter.
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Temps de lecture : 1 min
« Si le gouvernement augmente les impôts, ce ne sont pas les plus riches qui seront touchés, c’est tout le monde »estime mardi 1er octobre sur France Inter Xavier Niel, fondateur de Free, quelques heures avant la déclaration de politique générale de Michel Barnier. Le nouveau Premier ministre avait évoqué, après sa nomination, l’idée d’une contribution « exceptionnel et temporaire » de “ceux qui peuvent contribuer” à l’effort de redressement des finances publiques. “C’est de la démagogie” poursuit Xavier Niel. “Au final, on va frapper les entreprises de taille moyenne et on va les emmerder, on va frapper les gens moins riches que moi et on va les empêcher d’investir”dit-il.
«Nous avons eu une stabilité budgétaire pendant 7 ans», se souvient l’entrepreneur. À ce moment-là, « Tout le monde est venu investir en France, les talents sont venus investir en France »souligne Xavier Niel. Mais « ces gens, quand tu ramènes l’instabilité, ils repartent »il prévient.
Xaviel Niel affirme qu’il le fera « le dernier à partir ». « J’aime tellement ce pays, je le trouve incroyable et je l’aime tellement que je passe mon temps à essayer de dire à tout le monde qu’il faut venir s’installer en France »insiste-t-il. “Ce n’est pas la fiscalité qui me fera partir”, assure-t-il. “Mais je pense simplement que nous avons une image qui a peut-être changé et j’ai peur qu’elle change dans un sens négatif”, conclut-il.
“En fin de compte, on va frapper les entreprises de taille moyenne et on va les emmerder, on va frapper les gens moins riches que moi et on va les empêcher d’investir, » a-t-il déclaré mardi sur France Inter.
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« Si le gouvernement augmente les impôts, ce ne sont pas les plus riches qui seront touchés, c’est tout le monde »estime mardi 1er octobre sur France Inter Xavier Niel, fondateur de Free, quelques heures avant la déclaration de politique générale de Michel Barnier. Le nouveau Premier ministre avait évoqué, après sa nomination, l’idée d’une contribution « exceptionnel et temporaire » de “ceux qui peuvent contribuer” à l’effort de redressement des finances publiques. “C’est de la démagogie” poursuit Xavier Niel. “Au final, on va frapper les entreprises de taille moyenne et on va les emmerder, on va frapper les gens moins riches que moi et on va les empêcher d’investir”dit-il.
«Nous avons eu une stabilité budgétaire pendant 7 ans», se souvient l’entrepreneur. À ce moment-là, « Tout le monde est venu investir en France, les talents sont venus investir en France »souligne Xavier Niel. Mais « ces gens, quand tu ramènes l’instabilité, ils repartent »il prévient.
Xaviel Niel affirme qu’il le fera « le dernier à partir ». « J’aime tellement ce pays, je le trouve incroyable et je l’aime tellement que je passe mon temps à essayer de dire à tout le monde qu’il faut venir s’installer en France »insiste-t-il. “Ce n’est pas la fiscalité qui me fera partir”, assure-t-il. “Mais je pense simplement que nous avons une image qui a peut-être changé et j’ai peur qu’elle change dans un sens négatif”, conclut-il.