“Nous craignons des escroqueries au logement, un afflux plus important de proxénétisme”, ainsi que des “cyberattaques”, affirme Laure Beccuau jeudi sur France Inter.
Publié
Temps de lecture : 1 min
« Ce que l’on anticipe, ce n’est pas forcément un changement dans la nature de la criminalité, mais la même délinquance au pouvoir X » pendant les Jeux olympiques, a indiqué la procureure de Paris Laure Beccuau, jeudi 2 mai, sur France Inter.
“Paris a la particularité d’avoir toujours des touristes en juillet-août. Simplement, il y aura beaucoup plus de touristes”, a ajouté le procureur de Paris. Cela signifie que les délinquants attaqueront ces touristes de manière – j’ose dire – classique : vols de montres, vols à la tire. Il y aura ensuite une délinquance plus spécifique. Nous craignons des escroqueries au logement et un afflux accru de proxénétisme. Et puis, au-delà de Paris (petite couronne), ce dont on est sûr, c’est que les cyberattaques vont se multiplier pendant les JO.”
Des risques qui s’ajoutent à une éventuelle menace terroriste. Mi-avril, Emmanuel Macron a donné quelques précisions concernant le “plan B”, même « Plans C » développé pour la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 le 26 juillet. En cas de menace terroriste jugée suffisamment élevée, la cérémonie d’ouverture pourrait être « limité au Trocadéro »voire transféré au Stade de France, dit-il
“Nous craignons des escroqueries au logement, un afflux plus important de proxénétisme”, ainsi que des “cyberattaques”, affirme Laure Beccuau jeudi sur France Inter.
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« Ce que l’on anticipe, ce n’est pas forcément un changement dans la nature de la criminalité, mais la même délinquance au pouvoir X » pendant les Jeux olympiques, a indiqué la procureure de Paris Laure Beccuau, jeudi 2 mai, sur France Inter.
“Paris a la particularité d’avoir toujours des touristes en juillet-août. Simplement, il y aura beaucoup plus de touristes”, a ajouté le procureur de Paris. Cela signifie que les délinquants attaqueront ces touristes de manière – j’ose dire – classique : vols de montres, vols à la tire. Il y aura ensuite une délinquance plus spécifique. Nous craignons des escroqueries au logement et un afflux accru de proxénétisme. Et puis, au-delà de Paris (petite couronne), ce dont on est sûr, c’est que les cyberattaques vont se multiplier pendant les JO.”
Des risques qui s’ajoutent à une éventuelle menace terroriste. Mi-avril, Emmanuel Macron a donné quelques précisions concernant le “plan B”, même « Plans C » développé pour la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 le 26 juillet. En cas de menace terroriste jugée suffisamment élevée, la cérémonie d’ouverture pourrait être « limité au Trocadéro »voire transféré au Stade de France, dit-il