Ils ont entre 96 et 104 ans, vivent aux Etats-Unis, au Royaume-Uni ou au Canada et sont venus en Normandie pour célébrer le 80e anniversaire du débarquement du 6 juin 1944, auquel nombre d’entre eux ont participé.
Certains ne sont jamais revenus en France. D’autres ont déjà fait le pèlerinage, mais ne croyaient plus un tel voyage possible à leur âge avancé. La Grande-Bretagne, bien sûr, n’est pas loin, et le ferry permet à ses ressortissants de venir en voiture. Mais depuis San Francisco, Miami, Memphis, Las Vegas (États-Unis), Toronto (Canada) ? Une poignée d’organisations et de bénévoles ont donc eu du mal à réaliser l’improbable, voire le ” jamais vu “ : le voyage en France de 250 centenaires et quasi-centenaires, ardents et volontaires, déterminés à commémorer tous ensemble l’opération « Overlord », cette offensive qui a brisé le mur de l’Atlantique et conduit à la chute du IIIee Reich. Deux cent cinquante centenaires installés dans des fauteuils roulants pour faciliter les déplacements, mais bien décidés à se lever lorsque retentiront les hymnes nationaux.
Ils ont entre 96 et 104 ans, vivent aux Etats-Unis, au Royaume-Uni ou au Canada et sont venus en Normandie pour célébrer le 80e anniversaire du débarquement du 6 juin 1944, auquel nombre d’entre eux ont participé.
Certains ne sont jamais revenus en France. D’autres ont déjà fait le pèlerinage, mais ne croyaient plus un tel voyage possible à leur âge avancé. La Grande-Bretagne, bien sûr, n’est pas loin, et le ferry permet à ses ressortissants de venir en voiture. Mais depuis San Francisco, Miami, Memphis, Las Vegas (États-Unis), Toronto (Canada) ? Une poignée d’organisations et de bénévoles ont donc eu du mal à réaliser l’improbable, voire le ” jamais vu “ : le voyage en France de 250 centenaires et quasi-centenaires, ardents et volontaires, déterminés à commémorer tous ensemble l’opération « Overlord », cette offensive qui a brisé le mur de l’Atlantique et conduit à la chute du IIIee Reich. Deux cent cinquante centenaires installés dans des fauteuils roulants pour faciliter les déplacements, mais bien décidés à se lever lorsque retentiront les hymnes nationaux.