Un gros ballon bleu flanqué d’un portrait de Joe Biden flotte dans les airs. Au moment où il semble sur le point de s’envoler, une main munie d’une aiguille s’approche… Et le transperce. Joe Biden pschitt, c’est l’illustration choisie par le magazine de gauche Mère Jones pour évoquer le danger que représentent les petits candidats pour la réélection du président démocrate.
Comme le candidat indépendant Robert F. Kennedy Jr., ces Des « fauteurs de troubles » prendre de l’importance à mesure que « Les Américains rejettent le duopole »à savoir la domination du Parti démocrate et du Parti républicain sur la vie politique américaine, et rejeter, a fortiori, un deuxième duel entre Joe Biden et Donald Trump, affirme le magazine californien.
Un vote de protestation
Il y a la candidate écologiste Jill Stein, dont le Parti Vert, déjà bien implanté dans le paysage politique américain, lui permet d’être présente sur les bulletins de vote dans une vingtaine d’États – dont certains États clés, comme le Wisconsin. . Il y a aussi l’universitaire afro-américain Cornel West, qui se présente comme le candidat de la gauche et de l’antiracisme. Mais il y a aussi l’outsider préféré des États-Unis, Robert F. Kennedy Jr., anti-vax et très critique à l’égard du système politique.
Autant d’applications capables de « siphonner les voix d’une partie des électeurs de Joe Biden et Donald Trump“, estimé Mère Jones, ce qui rappelle que le Parti démocrate a déployé un plan visant à contrecarrer la montée en puissance de ces petits candidats (avec RFK Jr. comme cible principale).
Pourtant, le duel entre Biden et Trump s’annonce particulièrement serré, et chaque vote comptera, insiste Mère Jones, qui rappelle que la présence de petits candidats qui jouent les trouble-fête lors d’une élection présidentielle n’est pas une première et cite notamment Ross Perot, l’homme d’affaires et candidat indépendant qui a obtenu 19% des voix en 1992.
Mais cette fois, l’utilisation de « vote de protestation » pourrait avoir des conséquences sans précédent, comme les Américains n’ont jamais été aussi nombreux à le dire “désabusé” et fatigué de « polarisation politique excessive ».
En octobre 2023, 63 % des Américains estimaient que les deux grands partis démocrate et républicain étaient «un si mauvais travail” représentation du peuple américain qui «un troisième grand parti serait nécessaire », lequel est “un enregistrement”comme le révèle un sondage Gallup.
Toutefois, les électeurs américains devraient se demander « si un vote visant à mettre fin au duopole ne risque pas au contraire de contribuer à la fin de la démocratie » en augmentant les chances d’élection de Donald Trump, conclut Mère Jones.
Un gros ballon bleu flanqué d’un portrait de Joe Biden flotte dans les airs. Au moment où il semble sur le point de s’envoler, une main munie d’une aiguille s’approche… Et le transperce. Joe Biden pschitt, c’est l’illustration choisie par le magazine de gauche Mère Jones pour évoquer le danger que représentent les petits candidats pour la réélection du président démocrate.
Comme le candidat indépendant Robert F. Kennedy Jr., ces Des « fauteurs de troubles » prendre de l’importance à mesure que « Les Américains rejettent le duopole »à savoir la domination du Parti démocrate et du Parti républicain sur la vie politique américaine, et rejeter, a fortiori, un deuxième duel entre Joe Biden et Donald Trump, affirme le magazine californien.
Un vote de protestation
Il y a la candidate écologiste Jill Stein, dont le Parti Vert, déjà bien implanté dans le paysage politique américain, lui permet d’être présente sur les bulletins de vote dans une vingtaine d’États – dont certains États clés, comme le Wisconsin. . Il y a aussi l’universitaire afro-américain Cornel West, qui se présente comme le candidat de la gauche et de l’antiracisme. Mais il y a aussi l’outsider préféré des États-Unis, Robert F. Kennedy Jr., anti-vax et très critique à l’égard du système politique.
Autant d’applications capables de « siphonner les voix d’une partie des électeurs de Joe Biden et Donald Trump“, estimé Mère Jones, ce qui rappelle que le Parti démocrate a déployé un plan visant à contrecarrer la montée en puissance de ces petits candidats (avec RFK Jr. comme cible principale).
Pourtant, le duel entre Biden et Trump s’annonce particulièrement serré, et chaque vote comptera, insiste Mère Jones, qui rappelle que la présence de petits candidats qui jouent les trouble-fête lors d’une élection présidentielle n’est pas une première et cite notamment Ross Perot, l’homme d’affaires et candidat indépendant qui a obtenu 19% des voix en 1992.
Mais cette fois, l’utilisation de « vote de protestation » pourrait avoir des conséquences sans précédent, comme les Américains n’ont jamais été aussi nombreux à le dire “désabusé” et fatigué de « polarisation politique excessive ».
En octobre 2023, 63 % des Américains estimaient que les deux grands partis démocrate et républicain étaient «un si mauvais travail” représentation du peuple américain qui «un troisième grand parti serait nécessaire », lequel est “un enregistrement”comme le révèle un sondage Gallup.
Toutefois, les électeurs américains devraient se demander « si un vote visant à mettre fin au duopole ne risque pas au contraire de contribuer à la fin de la démocratie » en augmentant les chances d’élection de Donald Trump, conclut Mère Jones.