Publié
Durée de la vidéo : 6 minutes
Mercredi 24 avril, le 13 Heures vous fait découvrir Sète, dans l’Hérault, avec son marché proposant poissons cornés, huîtres, poulpes et autres produits de la mer en provenance directe des pêcheurs locaux.
Au milieu des flots bleus, pris en sandwich entre l’étang de Thau et la Méditerranée, se niche le fleuron de la ville de Sète (Hérault) : les halles. A son bord, dès l’aube, se trouve le poissonnier Cyril Caumette depuis près de 40 ans. Dès 7 heures du matin, les premiers habitués arrivent pour s’approvisionner en poissons pêchés localement. “Il donne de bons conseils”, assure un client. Pour satisfaire sa fidèle clientèle, Cyril Caumette fait aussi ses courses. Pour mettre la main sur son poisson, tout se passe désormais aux enchères.
Une vie dans les couloirs
Dans les halles, les clients ont encore le choix, il y a encore sept poissonneries en activité. La plus âgée, Nicole Di Maïo, a 78 ans, et son enthousiasme est intact. Sa carrière débute dans les salles très jeune, d’abord aux côtés de sa mère. Désormais, Nicole travaille avec son mari, André Di Maïo, ancien pécheur. Même s’il n’envisage pas de prendre sa retraite, le couple n’a trouvé aucun successeur au sein de la famille.
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Mercredi 24 avril, le 13 Heures vous fait découvrir Sète, dans l’Hérault, avec son marché proposant poissons cornés, huîtres, poulpes et autres produits de la mer en provenance directe des pêcheurs locaux.
Au milieu des flots bleus, pris en sandwich entre l’étang de Thau et la Méditerranée, se niche le fleuron de la ville de Sète (Hérault) : les halles. A son bord, dès l’aube, se trouve le poissonnier Cyril Caumette depuis près de 40 ans. Dès 7 heures du matin, les premiers habitués arrivent pour s’approvisionner en poissons pêchés localement. “Il donne de bons conseils”, assure un client. Pour satisfaire sa fidèle clientèle, Cyril Caumette fait aussi ses courses. Pour mettre la main sur son poisson, tout se passe désormais aux enchères.
Une vie dans les couloirs
Dans les halles, les clients ont encore le choix, il y a encore sept poissonneries en activité. La plus âgée, Nicole Di Maïo, a 78 ans, et son enthousiasme est intact. Sa carrière débute dans les salles très jeune, d’abord aux côtés de sa mère. Désormais, Nicole travaille avec son mari, André Di Maïo, ancien pécheur. Même s’il n’envisage pas de prendre sa retraite, le couple n’a trouvé aucun successeur au sein de la famille.