« La peur, la destruction, la terreur dans de nombreux quartiers… En fait, c’est l’horreur », résume la vie quotidienne Millénium. Là “guerre” – Comme le dit toute la presse mexicaine, une guerre fait rage dans l’État de Sinaloa entre deux branches du cartel du même nom, notamment dans la capitale, Culiacán, et sa banlieue. Affrontements armés, assassinats sélectifs, enlèvements, véhicules incendiés, têtes coupées retrouvées sur les trottoirs…
La population est terrorisée, les écoles ont été fermées, de nombreux commerces ont fermé, les rues et les avenues sont bloquées par des barrages de véhicules blindés des narcos. En une semaine, une quarantaine de personnes ont été tuées, dont quinze le dimanche 15 septembre, jour de l’Indépendance, fête nationale qui a été annulée.
« La mère de toutes les batailles reste encore à mener
« La peur, la destruction, la terreur dans de nombreux quartiers… En fait, c’est l’horreur », résume la vie quotidienne Millénium. Là “guerre” – Comme le dit toute la presse mexicaine, une guerre fait rage dans l’État de Sinaloa entre deux branches du cartel du même nom, notamment dans la capitale, Culiacán, et sa banlieue. Affrontements armés, assassinats sélectifs, enlèvements, véhicules incendiés, têtes coupées retrouvées sur les trottoirs…
La population est terrorisée, les écoles ont été fermées, de nombreux commerces ont fermé, les rues et les avenues sont bloquées par des barrages de véhicules blindés des narcos. En une semaine, une quarantaine de personnes ont été tuées, dont quinze le dimanche 15 septembre, jour de l’Indépendance, fête nationale qui a été annulée.