Le Crilan dénonce “un effet de relance du nucléaire” après l’annonce mardi de l’autorisation de mise en service de l’EPR de Flamanville.
Publié
Temps de lecture : 1 min
« Montrer que l’EPR de Flamanville peut démarrer est un enjeu politique et économique »fustige au micro de franceinfo André Jacques, président du Crilan (Comité de réflexion, d’information et de lutte antinucléaire), tandis que l’Autorité de sûreté nucléaire a donné, mardi 7 mai, son feu vert à la mise en service de l’EPR de Flamanville, dans la Manche.
Le démarrage de ce réacteur de nouvelle génération était initialement prévu pour 2012, mais de nombreux problèmes rencontrés lors de sa construction ont entraîné des retards importants sur le planning, notamment des anomalies sur l’acier du couvercle de la cuve. Il devra être remplacé par un autre après le premier cycle d’exploitation de l’EPR, soit au bout d’un an et demi environ.
Pour Crilan, la décision prise par la gendarmerie nucléaire française représente « un effet de relance du nucléaire », ce que refuse l’association basée dans le Cotentin. Elle craint également un accident nucléaire.
Le Crilan dénonce “un effet de relance du nucléaire” après l’annonce mardi de l’autorisation de mise en service de l’EPR de Flamanville.
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« Montrer que l’EPR de Flamanville peut démarrer est un enjeu politique et économique »fustige au micro de franceinfo André Jacques, président du Crilan (Comité de réflexion, d’information et de lutte antinucléaire), tandis que l’Autorité de sûreté nucléaire a donné, mardi 7 mai, son feu vert à la mise en service de l’EPR de Flamanville, dans la Manche.
Le démarrage de ce réacteur de nouvelle génération était initialement prévu pour 2012, mais de nombreux problèmes rencontrés lors de sa construction ont entraîné des retards importants sur le planning, notamment des anomalies sur l’acier du couvercle de la cuve. Il devra être remplacé par un autre après le premier cycle d’exploitation de l’EPR, soit au bout d’un an et demi environ.
Pour Crilan, la décision prise par la gendarmerie nucléaire française représente « un effet de relance du nucléaire », ce que refuse l’association basée dans le Cotentin. Elle craint également un accident nucléaire.