Les œillets fleurissent ce jeudi à la Une de la presse portugaise, et un mot ressort à la Une : “Liberté”. Une liberté retrouvée pour des millions de Portugais il y a cinquante ans jour pour jour, le 25 avril 1974, au tournant d’une révolution qui a mis fin en quelques heures à quarante-huit ans de dictature, comme si elle n’avait jamais existé. « Les réalisations les plus importantes du pays dont nous rêvons tous trouvent leur origine dans cette date. » souligne l’écrivain Valter Hugo Mãe dans Magazine d’actualités.
Publique présente à sa Une le dessin d’un œillet composé d’une foule de citoyens, ceux-là mêmes qui s’apprêtent à défiler ce jeudi, jour férié, sur l’emblématique avenue de la Liberté, à Lisbonne, et un peu partout dans le pays, se souvenir de la date la plus importante de l’histoire portugaise (au moins pour 63% des Portugais, selon une étude récente). Dans son «éditorial de combat» contre les nostalgiques de Salazar, qui veulent réécrire l’histoire, le directeur du journal, David Pontes, rappelle la singularité de
Les œillets fleurissent ce jeudi à la Une de la presse portugaise, et un mot ressort à la Une : “Liberté”. Une liberté retrouvée pour des millions de Portugais il y a cinquante ans jour pour jour, le 25 avril 1974, au tournant d’une révolution qui a mis fin en quelques heures à quarante-huit ans de dictature, comme si elle n’avait jamais existé. « Les réalisations les plus importantes du pays dont nous rêvons tous trouvent leur origine dans cette date. » souligne l’écrivain Valter Hugo Mãe dans Magazine d’actualités.
Publique présente à sa Une le dessin d’un œillet composé d’une foule de citoyens, ceux-là mêmes qui s’apprêtent à défiler ce jeudi, jour férié, sur l’emblématique avenue de la Liberté, à Lisbonne, et un peu partout dans le pays, se souvenir de la date la plus importante de l’histoire portugaise (au moins pour 63% des Portugais, selon une étude récente). Dans son «éditorial de combat» contre les nostalgiques de Salazar, qui veulent réécrire l’histoire, le directeur du journal, David Pontes, rappelle la singularité de