Après les rĂ©quisitions du procureur de la CPI, le prĂ©sident des RĂ©publicains a jugĂ©, mercredi sur BFMTV, “ridicule” la “mise en examen (du) premier ministre d’un Etat dĂ©mocratique qui se dĂ©fend du pire attentat terroriste qui ait jamais eu lieu” .
Éric Ciotti ne mâche pas ses mots. InvitĂ© de BFMTV mercredi, le prĂ©sident des RĂ©publicains a exprimĂ© sa dĂ©sapprobation face au mandat d’arrĂŞt demandĂ© contre le Premier ministre israĂ©lien Benjamin Netanyahu par le procureur de la Cour pĂ©nale internationale (CPI). EngagĂ© dans une riposte depuis l’attentat terroriste du 7 octobre 2023, le chef du gouvernement de l’Etat hĂ©breu est visĂ© au mĂŞme titre que les trois plus hauts dirigeants du Hamas. Une procĂ©dure qui a Ă©tĂ© fustigĂ©e par le dĂ©putĂ© LR des Alpes-Maritimes, selon qui la compĂ©tence a Ă©tĂ© « dĂ©finitivement discrĂ©ditĂ© » Et “n’existera plus”.
« Inculper le Premier ministre d’un État dĂ©mocratique qui se dĂ©fend contre le pire attentat terroriste jamais commis », considĂ©ra-t-il. Raison pour laquelle Éric Ciotti souhaite que la France quitte la CPI. Les rĂ©quisitions s’Ă©lèvent, selon le leader de la droite, à « mettre sur le mĂŞme plan les sales terroristes et les islamistes »qui a « les mĂŞmes racines que ceux qui ont attaquĂ© le Bataclan et la Promenade des Anglais Ă Nice ». “Est-ce qu’elle (la CPI) attaque l’ayatollah Khamenei en Iran ? Est-ce qu’elle attaque M. Erdogan ? Est-ce qu’elle attaque Xi Jinping ? Finalement, oĂą en sommes-nous ici ? » a lancĂ© l’Ă©lu du sud. Il considère que nous « donne du crĂ©dit aux institutions politisĂ©es ».
MĂŞme analyse que Larcher
Une charge qui rejoint celle du prĂ©sident du SĂ©nat. GĂ©rard Larcher a affirmĂ© mercredi matin que le “comparaison” de « mettre un gouvernement dĂ©mocratique et les terroristes sur le mĂŞme plan » Ă©tait « scandaleux et scandaleux ». « Il faut faire attention Ă ce que ceux qui sont responsables des assassinats et ceux qui en ont Ă©tĂ© les victimes ne se retrouvent pas sur le mĂŞme banc »a martelĂ© la deuxième personne de l’Etat.
La gauche, qui avait sans surprise saluĂ© la dĂ©cision de la CPI, avait alors protestĂ© contre un hypothĂ©tique retrait de la France. «Ces gens donnent des leçons au monde entier mais veulent dĂ©truire l’un des principaux acquis du droit international de la fin du XXe siècle.e siècle”» s’est moquĂ© le coordinateur de La France Insoumise Manuel Bompard sur X. “Ciotti s’est dĂ©finitivement discrĂ©ditĂ©” il ajouta.
Son collègue LFI Arnaud Le Gall a Ă©galement dĂ©noncĂ© le « disparition des LR, aveuglĂ©s par leur soutien aux crimes du gouvernement israĂ©lien Ă Gaza ». « Le droit international s’applique Ă tout le monde, sinon ce n’est plus la loi », il a dit. La dĂ©putĂ©e AndrĂ©e Taurinya a jugĂ© qu’il s’agissait « impensable que les personnes soupçonnĂ©es de crimes de guerre soient intouchables ».
Après les rĂ©quisitions du procureur de la CPI, le prĂ©sident des RĂ©publicains a jugĂ©, mercredi sur BFMTV, “ridicule” la “mise en examen (du) premier ministre d’un Etat dĂ©mocratique qui se dĂ©fend du pire attentat terroriste qui ait jamais eu lieu” .
Éric Ciotti ne mâche pas ses mots. InvitĂ© de BFMTV mercredi, le prĂ©sident des RĂ©publicains a exprimĂ© sa dĂ©sapprobation face au mandat d’arrĂŞt demandĂ© contre le Premier ministre israĂ©lien Benjamin Netanyahu par le procureur de la Cour pĂ©nale internationale (CPI). EngagĂ© dans une riposte depuis l’attentat terroriste du 7 octobre 2023, le chef du gouvernement de l’Etat hĂ©breu est visĂ© au mĂŞme titre que les trois plus hauts dirigeants du Hamas. Une procĂ©dure qui a Ă©tĂ© fustigĂ©e par le dĂ©putĂ© LR des Alpes-Maritimes, selon qui la compĂ©tence a Ă©tĂ© « dĂ©finitivement discrĂ©ditĂ© » Et “n’existera plus”.
« Inculper le Premier ministre d’un État dĂ©mocratique qui se dĂ©fend contre le pire attentat terroriste jamais commis », considĂ©ra-t-il. Raison pour laquelle Éric Ciotti souhaite que la France quitte la CPI. Les rĂ©quisitions s’Ă©lèvent, selon le leader de la droite, à « mettre sur le mĂŞme plan les sales terroristes et les islamistes »qui a « les mĂŞmes racines que ceux qui ont attaquĂ© le Bataclan et la Promenade des Anglais Ă Nice ». “Est-ce qu’elle (la CPI) attaque l’ayatollah Khamenei en Iran ? Est-ce qu’elle attaque M. Erdogan ? Est-ce qu’elle attaque Xi Jinping ? Finalement, oĂą en sommes-nous ici ? » a lancĂ© l’Ă©lu du sud. Il considère que nous « donne du crĂ©dit aux institutions politisĂ©es ».
MĂŞme analyse que Larcher
Une charge qui rejoint celle du prĂ©sident du SĂ©nat. GĂ©rard Larcher a affirmĂ© mercredi matin que le “comparaison” de « mettre un gouvernement dĂ©mocratique et les terroristes sur le mĂŞme plan » Ă©tait « scandaleux et scandaleux ». « Il faut faire attention Ă ce que ceux qui sont responsables des assassinats et ceux qui en ont Ă©tĂ© les victimes ne se retrouvent pas sur le mĂŞme banc »a martelĂ© la deuxième personne de l’Etat.
La gauche, qui avait sans surprise saluĂ© la dĂ©cision de la CPI, avait alors protestĂ© contre un hypothĂ©tique retrait de la France. «Ces gens donnent des leçons au monde entier mais veulent dĂ©truire l’un des principaux acquis du droit international de la fin du XXe siècle.e siècle”» s’est moquĂ© le coordinateur de La France Insoumise Manuel Bompard sur X. “Ciotti s’est dĂ©finitivement discrĂ©ditĂ©” il ajouta.
Son collègue LFI Arnaud Le Gall a Ă©galement dĂ©noncĂ© le « disparition des LR, aveuglĂ©s par leur soutien aux crimes du gouvernement israĂ©lien Ă Gaza ». « Le droit international s’applique Ă tout le monde, sinon ce n’est plus la loi », il a dit. La dĂ©putĂ©e AndrĂ©e Taurinya a jugĂ© qu’il s’agissait « impensable que les personnes soupçonnĂ©es de crimes de guerre soient intouchables ».