Depuis l’explosion de centaines de bips à travers le Liban, tout le monde se demande comment, techniquement, cette opération a été rendue possible. Le Hezbollah en a imputé la responsabilité à l’Etat hébreu, qui n’a pas revendiqué pour l’instant la responsabilité. Selon le dernier bilan officiel, mercredi 18 septembre dans l’après-midi, elle a fait 12 morts et 2 800 blessés.
Les agences de presse et les médias du monde entier sont désormais en chasse d’informations. Ils analysent les images des caméras de vidéosurveillance où les explosions sont visibles, font appel à toutes sortes d’experts, qui s’expriment parfois sous couvert d’anonymat, et notamment à des spécialistes d’appareils low-tech comme les bipeurs, aussi appelés « pagers ».
Une charge explosive
« Sans GPS, microphones et caméras, et avec des capacités de messagerie texte très limitées, les téléavertisseurs sont moins vulnérables que les smartphones, ce qui les rend théoriquement plus difficiles à pirater », indique le Le Financial Times. C’est l’une des raisons pour lesquelles de nombreux spécialistes, comme Michael Horowitz, responsable du renseignement chez Le Beck International, une société de gestion
Depuis l’explosion de centaines de bips à travers le Liban, tout le monde se demande comment, techniquement, cette opération a été rendue possible. Le Hezbollah en a imputé la responsabilité à l’Etat hébreu, qui n’a pas revendiqué pour l’instant la responsabilité. Selon le dernier bilan officiel, mercredi 18 septembre dans l’après-midi, elle a fait 12 morts et 2 800 blessés.
Les agences de presse et les médias du monde entier sont désormais en chasse d’informations. Ils analysent les images des caméras de vidéosurveillance où les explosions sont visibles, font appel à toutes sortes d’experts, qui s’expriment parfois sous couvert d’anonymat, et notamment à des spécialistes d’appareils low-tech comme les bipeurs, aussi appelés « pagers ».
Une charge explosive
« Sans GPS, microphones et caméras, et avec des capacités de messagerie texte très limitées, les téléavertisseurs sont moins vulnérables que les smartphones, ce qui les rend théoriquement plus difficiles à pirater », indique le Le Financial Times. C’est l’une des raisons pour lesquelles de nombreux spécialistes, comme Michael Horowitz, responsable du renseignement chez Le Beck International, une société de gestion