C’est mercredi 25 septembre que le cabinet de sécurité israélien a appris que les conditions politiques et opérationnelles pour l’élimination de Hassan Nasrallah, le secrétaire général du Hezbollah, étaient enfin réunies.
Les préparatifs ont immédiatement commencé, en attendant d’avoir confirmation du jour et de l’heure exacte auxquels les dirigeants de l’organisation terroriste se réuniraient dans le bunker du quartier Dahiyé à Beyrouth, rapporte Le Poste de Jérusalem. A ce moment précis, tout dépendait des capacités des services de renseignement israéliens et de la réussite d’une manœuvre de diversion.
« Benyamin Netanyahu, le Premier ministre israélien, a continué à faire comme si de rien n’était. Il donne son feu vert aux discussions sur le processus de cessez-le-feu et décide de s’envoler pour les États-Unis à bord du Wing of Zion, l’équivalent israélien de l’avion présidentiel américain, Air Force One. » Un déplacement qui a servi à endormir la vigilance des dirigeants du Hezbollah, “qui a mordu à l’hameçon” – sans cela, la réunion prévue dans le siège clandestin de l’organisation chiite n’aurait pas eu lieu.
Une opération préparée depuis des mois
Tout au long de sa fuite vers les Etats-Unis, jeudi 26 septembre, le
C’est mercredi 25 septembre que le cabinet de sécurité israélien a appris que les conditions politiques et opérationnelles pour l’élimination de Hassan Nasrallah, le secrétaire général du Hezbollah, étaient enfin réunies.
Les préparatifs ont immédiatement commencé, en attendant d’avoir confirmation du jour et de l’heure exacte auxquels les dirigeants de l’organisation terroriste se réuniraient dans le bunker du quartier Dahiyé à Beyrouth, rapporte Le Poste de Jérusalem. A ce moment précis, tout dépendait des capacités des services de renseignement israéliens et de la réussite d’une manœuvre de diversion.
« Benyamin Netanyahu, le Premier ministre israélien, a continué à faire comme si de rien n’était. Il donne son feu vert aux discussions sur le processus de cessez-le-feu et décide de s’envoler pour les États-Unis à bord du Wing of Zion, l’équivalent israélien de l’avion présidentiel américain, Air Force One. » Un déplacement qui a servi à endormir la vigilance des dirigeants du Hezbollah, “qui a mordu à l’hameçon” – sans cela, la réunion prévue dans le siège clandestin de l’organisation chiite n’aurait pas eu lieu.
Une opération préparée depuis des mois
Tout au long de sa fuite vers les Etats-Unis, jeudi 26 septembre, le