DÉCRYPTAGE – Du Covid à la guerre en Ukraine, le commissaire français cherche depuis 2019 à faire avancer sa vision d’une Europe puissante.
En 2019, on disait qu’une Commission européenne était nécessaire « plus politique ». Thierry Breton ne s’est pas fait répéter deux fois. Le patron d’Atos avait été parachuté à Bruxelles presque du jour au lendemain pour devenir, in extremis, le candidat de la France au poste de commissaire que le Parlement européen avait refusé à Sylvie Goulard.
Durant son quinquennat européen, Thierry Breton a pris de la place, beaucoup de place. Trop, selon ses détracteurs, jamais déçus par l’assurance inébranlable confinant à l’égoïsme du commissaire français. Son départ théâtral mis en scène lundi – mieux vaut claquer la porte à son initiative que d’être évincé par Ursula von der Leyen et abandonné par Emmanuel Macron – en est la preuve. Mais n’a-t-il pas fallu un bulldozer pour faire bouger la machine européenne ?
soumission chimique - Brian Jeffrey Raymond, 48 ans, a drogué ses victimes avant de les abuser, notamment lors de ses…
Demain nous appartient du mercredi 18 septembre 2024 - Épisode 1773TF1+Demain nous appartient du mardi 17 septembre 2024 - Épisode…
Le réseau social X a effectué dans la nuit de mardi à mercredi au Brésil un changement technique qui lui…
Un homme de 23 ans a été reconnu coupable, mercredi 18 septembre, de possession d'une arme à feu en lien…
Ligue 1 – Marseille – Rabiot : « Je n'ai rien à expliquer à personne »Eurosport FREN DIRECT. Présentation d'Adrien…
THOMAS THURAR / AFP Une voiture en feu en Martinique, dans un contexte de violences urbaines contre la vie chère,…