(Medicine Hat) L’avocate de l’organisatrice du Freedom Convoy, Tamara Lich, affirme que la femme albertaine a été arrêtée.
Publié à 6h46
Eric Granger a confirmé dans un e-mail lundi soir qu’ils attendaient plus de détails, mais l’arrestation semblait être liée aux conditions de mise en liberté sous caution de M.moi liche.
Il n’a pas pu confirmer le lieu de l’arrestation, mais un autre avocat qui représentait également Mmoi Lich, Keith Wilson, a déclaré sur Twitter que l’arrestation avait eu lieu lundi à Medicine Hat, en Alberta, où habite Tamara Lich.
Un juge a d’abord refusé la mise en liberté sous caution de Mme.moi Lich après son arrestation lors de la manifestation qui a envahi le centre-ville d’Ottawa pendant plus de trois semaines en février, mais a été libérée en mars après un examen de la décision du tribunal.
Tamara Lich et son collègue organisateur de la manifestation Chris Barber sont conjointement accusés de méfait, d’entrave à la police, de conseil aux autres de commettre des méfaits et d’intimidation.
Mmoi Lich a été libéré avec une longue liste de conditions, y compris l’interdiction de tous les médias sociaux et l’ordre de ne pas « soutenir quoi que ce soit lié à Freedom Convoy ».
«Nous ne sommes au courant de rien qui aurait pu causer cela et nous sommes surpris par cette évolution compte tenu de la récente audience de révision du cautionnement en Ontario, où Mme.moi Lich pour le respect de ses conditions était l’une des raisons pour lesquelles certaines de ses conditions ont été assouplies à ce moment-là », a écrit Granger dans un courriel à La Presse canadienne.
La police de Medicine Hat, en Alberta, n’a pas confirmé pour le moment que Mme.moi Lich avait été arrêté.
En mai, un juge ontarien a statué que Tamara Lich pouvait rester en liberté sous caution jusqu’à son procès, après qu’un procureur de la Couronne eut soutenu qu’elle avait violé l’une des conditions de sa libération sous caution. sous caution en acceptant de recevoir une récompense pour son leadership lors de la manifestation d’Ottawa, et qu’elle devrait être placée derrière les barreaux en attendant sa comparution devant le tribunal.
Le juge de la Cour supérieure de l’Ontario, Kevin Phillips, a déclaré qu’il avait pris sa décision parce que M.moi Lich avait respecté les conditions de sa libération sous caution, que sa caution la surveillait bien et qu’elle avait déjà eu un « goût de la prison », ce qui, selon lui, réduisait son risque de récidive.
Le juge Phillips a modifié ses conditions de libération pour lui permettre de visiter Ottawa, mais pas le centre-ville. Cependant, il a confirmé l’interdiction d’accès de M.moi Lich aux médias sociaux, affirmant que l’interdiction d’un tel accès reste justifiée.
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