Coupe du monde de cross-country | Les Canadiens terminent 12e au relais mixte
Au 12e rangée, dimanche, en Suède.
Cyr a commencé la course dans un style classique et a gardé son équipe dans le groupe de tête pour passer le relais à Stewart-Jones. L’athlète de Chelsea a ensuite terminé son relais à la septième place et Kennedy a fait monter sa formation d’un rang. Dernier relayeur, Gagnon a glissé de six places et a été le 12e franchir la ligne d’arrivée avec un retard de 1 minute 19,1 secondes.
Le quatuor Suède 1 a terminé premier devant Norvège 1 (+4,6 secondes) et Allemagne 1 (+6,4 secondes).
« Je ne pense pas avoir connu ma meilleure course, mais ce n’était pas ma pire non plus », a admis Gagnon en entrevue avec Sportcom. Le niveau de compétition est élevé et pour moi, qui suis jeune et nouvelle sur le circuit, c’est quand même un grand pas de lutter contre les filles qui se retrouvent dans le top 15 en coupe du monde. »
La Lévisienne a dit que ses jambes ont commencé à se sentir lourdes au début de son parcours de 5 kilomètres en style libre.
« J’étais dépassée et parfois c’était plus dur de s’accrocher, même si je restais un moment avec une Allemande », a-t-elle poursuivi, précisant que ses coéquipières ne lui en tenaient pas rigueur. avantage.
Cette sympathie est ce dont le skieur de fond a besoin pour gravir les échelons supérieurs au bon rythme. Cette saison, elle a failli sauter les étapes puisqu’elle a participé aux Championnats du monde seniors, aux Championnats du monde des moins de 23 ans, au Tour de ski ainsi qu’à cinq épreuves de Coupe du monde. Un calendrier de compétitions impressionnant pour cet athlète d’à peine 20 ans.
Il y a eu des hauts et des bas. J’ai accompli beaucoup de choses cette année que je n’aurais jamais cru pouvoir faire. De plus en plus, je dois me rappeler que je suis là pour acquérir de l’expérience, même si je veux aussi performer.
Liliane Gagnon
La veille, Gagnon avait terminé 32e au sprint libre. Elle n’était qu’à une demi-seconde du tirage au sort des éliminatoires de la Coupe du monde pour la première fois de sa carrière.
« Peut-être que j’ai raté un coup [de bâtons] de plus. Le côté positif c’est que je vois que j’ai la capacité de le faire et dans deux jours, on fait un autre sprint skate, donc je me dis que ce n’est pas la fin non plus. Faire un top 30 et les vagues qualificatives lors de ma première année en Coupe du monde, ce serait super ! a conclu l’athlète, ayant l’étape de Tallin (Estonie) en ligne de mire.
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