A Boulouparis, le village a été le théâtre d’affrontements entre policiers et militants d’un barrage, mercredi 5 juin, en début d’après-midi. Du mobilier urbain, un distributeur bancaire et la pharmacie ont été vandalisés.
Si la situation a souvent été tendue à Boulouparis depuis le début des émeutes, notamment du côté nord, au carrefour pour Thio, c’est la première fois que des affrontements ont lieu, en plein cœur du village. Elles ont eu lieu ce mercredi 5 juin.
La situation a commencé à se dégrader vers midi. Dans la matinée, des militants sont descendus du barrage Nord du village pour manifester devant la gendarmerie, comme ils l’avaient déjà fait lundi, devant la mairie.
Selon les informations recueillies par NC La 1ère, c’est au moment de la dispersion de la manifestation que les choses ont dégénéré. Avec des jets de pierres en direction des gendarmes, qui ont ensuite répondu avec des gaz lacrymogènes. Sous les yeux incrédules des commerçants et des passants.
Des jeunes cagoulés s’en sont alors pris au mobilier urbain, mais aussi à la BCI, dont le distributeur a été vandalisé. La pharmacie a été touchée par plusieurs pierres, détruisant une vitrine et une vitrine. La voiture du pharmacien a également été visée. Conséquence : l’établissement restera fermé jusqu’à lundi.
A Boulouparis, le village a été le théâtre d’affrontements entre policiers et militants d’un barrage, mercredi 5 juin, en début d’après-midi. Du mobilier urbain, un distributeur bancaire et la pharmacie ont été vandalisés.
Si la situation a souvent été tendue à Boulouparis depuis le début des émeutes, notamment du côté nord, au carrefour pour Thio, c’est la première fois que des affrontements ont lieu, en plein cœur du village. Elles ont eu lieu ce mercredi 5 juin.
La situation a commencé à se dégrader vers midi. Dans la matinée, des militants sont descendus du barrage Nord du village pour manifester devant la gendarmerie, comme ils l’avaient déjà fait lundi, devant la mairie.
Selon les informations recueillies par NC La 1ère, c’est au moment de la dispersion de la manifestation que les choses ont dégénéré. Avec des jets de pierres en direction des gendarmes, qui ont ensuite répondu avec des gaz lacrymogènes. Sous les yeux incrédules des commerçants et des passants.
Des jeunes cagoulés s’en sont alors pris au mobilier urbain, mais aussi à la BCI, dont le distributeur a été vandalisé. La pharmacie a été touchée par plusieurs pierres, détruisant une vitrine et une vitrine. La voiture du pharmacien a également été visée. Conséquence : l’établissement restera fermé jusqu’à lundi.