Ces investigations se déroulent ce jeudi à Cagnac-les-Mines, dans le Tarn. Les enquêteurs doivent vérifier les déclarations d’un voyant.
Alors que la Cour de cassation a rejeté début avril la demande des avocats de Cédric Jubillar de récuser les deux juges d’instruction, les enquêtes sur la disparition de Delphine Jubillar ont pu reprendre, un mois après avoir été suspendues. De nouvelles fouilles ont été lancées ce jeudi 18 avril à Cagnac-les-Mines, dans le Tarn.
Ces investigations se déroulent actuellement non loin de la maison du couple, où vivait l’infirmière de 33 ans, disparue dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020.
Indications d’un voyant
Les enquêteurs se concentrent actuellement sur un emplacement “La Soulié», précise BFMTV, ajoutant que cette opération aurait été ordonnée après indications données par une voyante. Une centaine de gendarmes, accompagnés de chiens dressés pour détecter les personnes disparues, effectuent des recherches “sur un terrain qui a été signalé (aux enquêteurs), dans le cadre du complément d’information” ordonnée le 18 janvier par la cour d’appel de Toulouse, a indiqué à l’AFP une source proche du dossier.
Dans cette affaire sans corps, sans aveux, sans témoin, sans scène de crime, Cédric Jubillar, le mari de Delphine Jubillar, 33 ans au moment de sa disparition, est le principal suspect et clame son innocence. Mis en examen en juin 2021, il est depuis détenu à l’isolement au centre de rétention de Seysses, près de Toulouse. Depuis près de trois ans, ses avocats multiplient les recours, les demandes de mise en liberté ou les pourvois en cassation.
Récemment, ils ont mis en cause l’impartialité des magistrats chargés de l’enquête et ont demandé qu’ils soient écartés du dossier, alors qu’ils venaient de demander le renvoi de Cédric Jubillar devant la cour d’assises du Tarn, pour y être jugé.
Jusqu’à présent, toutes les demandes de mise en liberté ont été rejetées par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Toulouse, qui a estimé que le dossier contenait des éléments sérieux et concordants accusant Cédric Jubillar.
Ces investigations se déroulent ce jeudi à Cagnac-les-Mines, dans le Tarn. Les enquêteurs doivent vérifier les déclarations d’un voyant.
Alors que la Cour de cassation a rejeté début avril la demande des avocats de Cédric Jubillar de récuser les deux juges d’instruction, les enquêtes sur la disparition de Delphine Jubillar ont pu reprendre, un mois après avoir été suspendues. De nouvelles fouilles ont été lancées ce jeudi 18 avril à Cagnac-les-Mines, dans le Tarn.
Ces investigations se déroulent actuellement non loin de la maison du couple, où vivait l’infirmière de 33 ans, disparue dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020.
Indications d’un voyant
Les enquêteurs se concentrent actuellement sur un emplacement “La Soulié», précise BFMTV, ajoutant que cette opération aurait été ordonnée après indications données par une voyante. Une centaine de gendarmes, accompagnés de chiens dressés pour détecter les personnes disparues, effectuent des recherches “sur un terrain qui a été signalé (aux enquêteurs), dans le cadre du complément d’information” ordonnée le 18 janvier par la cour d’appel de Toulouse, a indiqué à l’AFP une source proche du dossier.
Dans cette affaire sans corps, sans aveux, sans témoin, sans scène de crime, Cédric Jubillar, le mari de Delphine Jubillar, 33 ans au moment de sa disparition, est le principal suspect et clame son innocence. Mis en examen en juin 2021, il est depuis détenu à l’isolement au centre de rétention de Seysses, près de Toulouse. Depuis près de trois ans, ses avocats multiplient les recours, les demandes de mise en liberté ou les pourvois en cassation.
Récemment, ils ont mis en cause l’impartialité des magistrats chargés de l’enquête et ont demandé qu’ils soient écartés du dossier, alors qu’ils venaient de demander le renvoi de Cédric Jubillar devant la cour d’assises du Tarn, pour y être jugé.
Jusqu’à présent, toutes les demandes de mise en liberté ont été rejetées par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Toulouse, qui a estimé que le dossier contenait des éléments sérieux et concordants accusant Cédric Jubillar.