Intellectuel engagé, figure incontournable de la littérature arabe contemporaine, fervent défenseur de la cause palestinienne, journaliste, militant et vétéran, Elias Khoury s’est éteint dimanche 15 septembre à l’âge de 76 ans après une vie pleine et mouvementée, marquée par les guerres qui ont déchiré le Liban et le Moyen-Orient, et terminée par un âpre combat contre la maladie, rapportent plusieurs quotidiens libanais et arabes.
« Elias Khoury : Au-delà d’une perte énorme », titre le quotidien panarabe Al-Qods Al-Arabi, qui consacre l’éditorial d’aujourd’hui à l’un de ses piliers et rend hommage à « un collègue et un ami ». Le journal « s’écrie un journaliste expérimenté et dévoué (…), un écrivain accompli (…), un critique littéraire et culturel » et un ancien membre de la « Résistance palestinienne », écrit le quotidien.
Né à Beyrouth en 1948, « dans une famille chrétienne grecque orthodoxe », comme rappelé L’Orient-Le Jour – à l’heure où la société libanaise est profondément polarisée et divisée sur la « question » palestinienne – Elias Khoury devient à la fois « un fervent militant de la cause palestinienne et un souverainiste libanais », ajouter le site Ici Beyrouth, marier ainsi et concilier deux engagements souvent difficiles
Intellectuel engagé, figure incontournable de la littérature arabe contemporaine, fervent défenseur de la cause palestinienne, journaliste, militant et vétéran, Elias Khoury s’est éteint dimanche 15 septembre à l’âge de 76 ans après une vie pleine et mouvementée, marquée par les guerres qui ont déchiré le Liban et le Moyen-Orient, et terminée par un âpre combat contre la maladie, rapportent plusieurs quotidiens libanais et arabes.
« Elias Khoury : Au-delà d’une perte énorme », titre le quotidien panarabe Al-Qods Al-Arabi, qui consacre l’éditorial d’aujourd’hui à l’un de ses piliers et rend hommage à « un collègue et un ami ». Le journal « s’écrie un journaliste expérimenté et dévoué (…), un écrivain accompli (…), un critique littéraire et culturel » et un ancien membre de la « Résistance palestinienne », écrit le quotidien.
Né à Beyrouth en 1948, « dans une famille chrétienne grecque orthodoxe », comme rappelé L’Orient-Le Jour – à l’heure où la société libanaise est profondément polarisée et divisée sur la « question » palestinienne – Elias Khoury devient à la fois « un fervent militant de la cause palestinienne et un souverainiste libanais », ajouter le site Ici Beyrouth, marier ainsi et concilier deux engagements souvent difficiles