Publié
Durée de la vidéo : 2 minutes
Alimentation : des chips plus légères grâce au Nutri-score
Alimentation : des chips plus légères grâce au Nutri-score
(France2)
De nombreux paquets de chips affichent un Nutri-score de « B » ou de « C », voire de « A » pour certaines marques. Auparavant, il s’agissait plutôt de « D » ou de « E ». Pour améliorer leur score, ils ont réduit la teneur en sel et en graisses saturées.
Le marché des chips est florissant et se veut bon pour la santé. Des dizaines d’emballages dans une épicerie affichent des Nutri-scores de « B » ou « C », bien meilleurs qu’auparavant, où il y avait plutôt de mauvaises notes de « D » et « E ». Ils étaient trop gras et trop salés. Certaines marques sont allées si loin qu’elles obtiennent même un « A ». Une prouesse pour les chips.
Un risque décroissant de maladies cardiovasculaires
Le professeur Boris Hansel, endocrinologue à l’hôpital Bichat (AP-HP), constate que les fabricants ont amélioré leurs chips en baissant la teneur en sel et en graisses saturées. “Dans les pays où le Nutri-score n’est pas instauré, les produits ne s’améliorent pas”, souligne-t-il. Une amélioration notable pour les chips vendues en France, car le risque de maladies cardiovasculaires diminue lorsque l’on réduit la consommation de sel et de graisses saturées.
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Alimentation : des chips plus légères grâce au Nutri-score
Alimentation : des chips plus légères grâce au Nutri-score
(France2)
De nombreux paquets de chips affichent un Nutri-score de « B » ou de « C », voire de « A » pour certaines marques. Auparavant, il s’agissait plutôt de « D » ou de « E ». Pour améliorer leur score, ils ont réduit la teneur en sel et en graisses saturées.
Le marché des chips est florissant et se veut bon pour la santé. Des dizaines d’emballages dans une épicerie affichent des Nutri-scores de « B » ou « C », bien meilleurs qu’auparavant, où il y avait plutôt de mauvaises notes de « D » et « E ». Ils étaient trop gras et trop salés. Certaines marques sont allées si loin qu’elles obtiennent même un « A ». Une prouesse pour les chips.
Un risque décroissant de maladies cardiovasculaires
Le professeur Boris Hansel, endocrinologue à l’hôpital Bichat (AP-HP), constate que les fabricants ont amélioré leurs chips en baissant la teneur en sel et en graisses saturées. “Dans les pays où le Nutri-score n’est pas instauré, les produits ne s’améliorent pas”, souligne-t-il. Une amélioration notable pour les chips vendues en France, car le risque de maladies cardiovasculaires diminue lorsque l’on réduit la consommation de sel et de graisses saturées.