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Durée de la vidéo : 2 minutes
Quelques jours après Sciences-Po, plusieurs dizaines de manifestants se sont rassemblés dans la cour de l’université de la Sorbonne, à Paris, lundi 29 avril, pour soutenir la cause palestinienne. Ils ont été évacués par la police.
Tentes et drapeaux au coeur de la cour de La Sorbonne. Plusieurs dizaines de manifestants sont entrés lundi 29 avril dans l’université parisienne pour clamer leur soutien à la cause palestinienne et tenter d’élargir le mouvement étudiant. “Le but est de généraliser (le mouvement) dans toutes les universités du pays”explique l’un des manifestants, Rémi, étudiant en 3e année d’histoire-géographie.
Plusieurs élus LFI présents
Lundi, plusieurs élus de La France insoumise ont rejoint les rangs des manifestants, dont Louis Boyard. « Vous avez devant vous des jeunes qui ont décidé de s’impliquer pour arrêter la guerre, obtenir la paix et mettre fin à un génocide », précise le député du Val-de-Marne. La police est intervenue dans l’après-midi pour disperser les manifestants. Ce mouvement intervient quelques jours après l’occupation de Sciences-Po Paris par des étudiants pro-palestiniens qui réclamaient la fin des partenariats entre l’établissement et les universités et les entreprises. « complices du génocide à Gaza ».
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Quelques jours après Sciences-Po, plusieurs dizaines de manifestants se sont rassemblés dans la cour de l’université de la Sorbonne, à Paris, lundi 29 avril, pour soutenir la cause palestinienne. Ils ont été évacués par la police.
Tentes et drapeaux au coeur de la cour de La Sorbonne. Plusieurs dizaines de manifestants sont entrés lundi 29 avril dans l’université parisienne pour clamer leur soutien à la cause palestinienne et tenter d’élargir le mouvement étudiant. “Le but est de généraliser (le mouvement) dans toutes les universités du pays”explique l’un des manifestants, Rémi, étudiant en 3e année d’histoire-géographie.
Plusieurs élus LFI présents
Lundi, plusieurs élus de La France insoumise ont rejoint les rangs des manifestants, dont Louis Boyard. « Vous avez devant vous des jeunes qui ont décidé de s’impliquer pour arrêter la guerre, obtenir la paix et mettre fin à un génocide », précise le député du Val-de-Marne. La police est intervenue dans l’après-midi pour disperser les manifestants. Ce mouvement intervient quelques jours après l’occupation de Sciences-Po Paris par des étudiants pro-palestiniens qui réclamaient la fin des partenariats entre l’établissement et les universités et les entreprises. « complices du génocide à Gaza ».