Une délégation d’une vingtaine d’Amérindiens de Guyane et du Suriname, dont un chaman et des chefs traditionnels, était à Paris du 14 au 22 septembre. Leur objectif était d’entrer en contact avec leurs ancêtres dont les restes reposent dans des cartons au Musée de l’Homme à Paris depuis plus de 130 ans.
Il s’agissait d’un groupe de 47 Amérindiens amenés dans la capitale en 1892 pour être exposés aux visiteurs. Huit sont morts avant leur retour, à cause de problèmes de santé causés par les mauvais traitements subis. Leurs restes n’ont jamais été ramenés en Guyane. Une descendante d’un de ces indigènes ayant survécu se bat depuis des années avec son association pour le rapatriement des restes de leurs ancêtres. Des cérémonies chamaniques ont été organisées à Paris par la délégation, afin de préparer spirituellement leur retour en Guyane.
Une délégation d’une vingtaine d’Amérindiens de Guyane et du Suriname, dont un chaman et des chefs traditionnels, était à Paris du 14 au 22 septembre. Leur objectif était d’entrer en contact avec leurs ancêtres dont les restes reposent dans des cartons au Musée de l’Homme à Paris depuis plus de 130 ans.
Il s’agissait d’un groupe de 47 Amérindiens amenés dans la capitale en 1892 pour être exposés aux visiteurs. Huit sont morts avant leur retour, à cause de problèmes de santé causés par les mauvais traitements subis. Leurs restes n’ont jamais été ramenés en Guyane. Une descendante d’un de ces indigènes ayant survécu se bat depuis des années avec son association pour le rapatriement des restes de leurs ancêtres. Des cérémonies chamaniques ont été organisées à Paris par la délégation, afin de préparer spirituellement leur retour en Guyane.