Bernard Pivot, décédé lundi 6 mai à l’âge de 89 ans, a su, pendant des années, transposer la littérature sur le petit écran. Les géants des lettres se sont succédé sur le plateau de son émission « Apostrophes », entre 1974 et 1990, puis sur celui de « Bouillon de culture », jusqu’en 2001. “La culture de haut vol, incisive et bienveillante de Bernard Pivot était un trésor national”a réagi sur , l’ancien ministre des Transports Clément Beaune, tandis que le maire de Marseille Benoît Payan, a salué celui qui « a fait entrer l’amour des mots dans les foyers de tous les Français ». Suivez notre diffusion en direct.
Philippe Labro salue « le plus grand professeur de littérature que nous ayons jamais eu ». « Non seulement je perds un ami, mais les Français perdent un ami et le plus grand professeur de littérature que nous ayons jamais eu »a déclaré lundi sur franceinfo l’écrivain et journaliste Philippe Labro. “Bernard a fait un travail extraordinaire pour nous, écrivains, et pour la littérature en général”il a salué, assurant que « petit à petit, on se rendra compte à quel point Bernard a joué un rôle majeur dans la défense du livre, dans la découverte de certains auteurs » .
Amoureux des lettres et du football. Défenseur infaillible du français et de sa parole, Bernard Pivot, bien que lyonnais d’origine, fut aussi un grand supporter de l’AS Saint-Etienne. Le club de football lui a rendu hommage le “Cet homme de lettres, né de l’autre côté de la Loire, mais animé, comme beaucoup d’autres, par la passion stéphanoise.”
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