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Durée de la vidéo : 2 minutes
Les intentions de recrutement ont chuté de 8,5% en France en un an. Cela s’explique par un contexte économique morose.
Une pizzeria enregistre une baisse d’activité depuis plusieurs mois et, de ce fait, deux salariés permanents n’ont pas été remplacés. Le patron a choisi de ne pas engagermême s’il doit finir dans la cuisine. « Le moment est venu de penser à stabiliser l’entreprise », explique Christophe Di Cicco, fondateur de la « Maison Oggi Bistrot des Chefs ». L’alternative est de recourir occasionnellement à des intérimaires, qui doivent être polyvalents.
Des projets de recrutement supérieurs au niveau d’avant Covid
En France, les intentions de recrutement sont en baisse de 8,5% sur un an. Cela concerne particulièrement les postes permanents, dans le bâtiment et le commerce. Le nombre de chômeurs a augmenté de 0,4% sur un an. Cette situation s’explique par un contexte économique morose. Mathieu Plane, économiste à l’OFCE, souligne « un niveau d’endettement plus élevé » Et « des taux d’intérêt élevés ». Malgré ces difficultés du marché du travail, les projets de recrutement restent toujours supérieurs au niveau d’avant Covid.
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Les intentions de recrutement ont chuté de 8,5% en France en un an. Cela s’explique par un contexte économique morose.
Une pizzeria enregistre une baisse d’activité depuis plusieurs mois et, de ce fait, deux salariés permanents n’ont pas été remplacés. Le patron a choisi de ne pas engagermême s’il doit finir dans la cuisine. « Le moment est venu de penser à stabiliser l’entreprise », explique Christophe Di Cicco, fondateur de la « Maison Oggi Bistrot des Chefs ». L’alternative est de recourir occasionnellement à des intérimaires, qui doivent être polyvalents.
Des projets de recrutement supérieurs au niveau d’avant Covid
En France, les intentions de recrutement sont en baisse de 8,5% sur un an. Cela concerne particulièrement les postes permanents, dans le bâtiment et le commerce. Le nombre de chômeurs a augmenté de 0,4% sur un an. Cette situation s’explique par un contexte économique morose. Mathieu Plane, économiste à l’OFCE, souligne « un niveau d’endettement plus élevé » Et « des taux d’intérêt élevés ». Malgré ces difficultés du marché du travail, les projets de recrutement restent toujours supérieurs au niveau d’avant Covid.