Les Monégasques ont été battus d’un point et après prolongation par les Turcs de Fenerbahçe (80-79) ce mercredi soir lors du cinquième et dernier match des quarts de finale.
Il lui fallait assumer son statut de meilleur buteur de l’histoire de l’Euroligue : si Mike James a été un combattant important pour Monaco, il n’a pas permis à la Roca Team, qui s’est inclinée sur le fil contre Fenerbahçe (79-80), mercredi soir , pour revenir au Final Four.
Il a pourtant inscrit 20 points, et certains resteront gravés dans les mémoires des supporters monégasques pendant de nombreuses années, comme son flotteur à 30 secondes de la fin de la prolongation (79-77). Mais cela ne suffisait pas.
“Il dit qu’il n’est pas un leader”explique son entraîneur, Sasa Obradovic. « Je lui réponds : +Oui, tu mènes le groupe par ton jeu, ta prise de risque, ton agressivité. Il faut savoir quand le faire.+” Et c’est exactement ce qu’il a fait contre Fenerbahçe. Monaco était sur le point d’abandonner lorsque l’Américain a fait James. Un panier à trois points qui a enflammé la salle Gaston-Médecin pour permettre à Monaco de revenir dans le match (66-67) à 1’52” de la fin du match, puis a permis à Elie Okobo d’aller chercher la prolongation.
Pourtant, sa première période a été compliquée. James a eu droit à une défense fougueuse, notamment de la part du Grec Nick Calathes, mais aussi des grands du Fener contre lesquels il n’a jamais craint de se lancer en duel. Mais il a fallu se battre pour marquer nos deux seuls paniers sur des actions construites avant la pause. C’est d’abord lui qui a ouvert le compteur pour la Roca Team, embourbée dans la défense turque.
Ruse et combat
Il a fallu attendre la 3e minute pour ça (2-4, 3e). Puis, toujours sous pression, il n’a réussi à attaquer le cercle qu’une seule fois pour marquer (32-29, 17e) lors d’un match d’une intensité physique impressionnante.
Entre-temps, sa ruse lui avait permis d’inscrire trois lancers francs suite à une faute sur une tentative de pseudo-tir depuis le milieu de terrain. Il n’en a amené que deux. Et surtout n’a obtenu aucune passe décisive avant la pause.
Sa première offrande a été pour Donatas Motiejunas, véritable combattant et auteur d’un panier gagnant important à ce moment de la rencontre (43-35, 21e). Il a alors permis à son peuple de constater une amélioration. Après son premier panier à trois points (52-48, 27e), il obtient trois nouveaux lancers francs en raison d’une nouvelle faute de Calathes.
Cette fois, c’est le meilleur buteur de l’Euroligue qui s’est imposé (55-48, 28e). Mais s’il a été adroit dans l’exercice (5/6), James était loin de ses standards pour le reste : 40% de réussite à deux points, 33% à trois points, trois ballons perdus et deux petites passes décisives avant le début de la finale. quart. A son retour dans la partie, alors que Monaco était mené de deux points (58-60), il a provoqué une nouvelle faute de Calathes. Mais cela ne suffisait pas… D’ailleurs, c’est ce dernier qui, en prolongation, a marqué le panier gagnant pour les Stambouliotes.
Les Monégasques ont été battus d’un point et après prolongation par les Turcs de Fenerbahçe (80-79) ce mercredi soir lors du cinquième et dernier match des quarts de finale.
Il lui fallait assumer son statut de meilleur buteur de l’histoire de l’Euroligue : si Mike James a été un combattant important pour Monaco, il n’a pas permis à la Roca Team, qui s’est inclinée sur le fil contre Fenerbahçe (79-80), mercredi soir , pour revenir au Final Four.
Il a pourtant inscrit 20 points, et certains resteront gravés dans les mémoires des supporters monégasques pendant de nombreuses années, comme son flotteur à 30 secondes de la fin de la prolongation (79-77). Mais cela ne suffisait pas.
“Il dit qu’il n’est pas un leader”explique son entraîneur, Sasa Obradovic. « Je lui réponds : +Oui, tu mènes le groupe par ton jeu, ta prise de risque, ton agressivité. Il faut savoir quand le faire.+” Et c’est exactement ce qu’il a fait contre Fenerbahçe. Monaco était sur le point d’abandonner lorsque l’Américain a fait James. Un panier à trois points qui a enflammé la salle Gaston-Médecin pour permettre à Monaco de revenir dans le match (66-67) à 1’52” de la fin du match, puis a permis à Elie Okobo d’aller chercher la prolongation.
Pourtant, sa première période a été compliquée. James a eu droit à une défense fougueuse, notamment de la part du Grec Nick Calathes, mais aussi des grands du Fener contre lesquels il n’a jamais craint de se lancer en duel. Mais il a fallu se battre pour marquer nos deux seuls paniers sur des actions construites avant la pause. C’est d’abord lui qui a ouvert le compteur pour la Roca Team, embourbée dans la défense turque.
Ruse et combat
Il a fallu attendre la 3e minute pour ça (2-4, 3e). Puis, toujours sous pression, il n’a réussi à attaquer le cercle qu’une seule fois pour marquer (32-29, 17e) lors d’un match d’une intensité physique impressionnante.
Entre-temps, sa ruse lui avait permis d’inscrire trois lancers francs suite à une faute sur une tentative de pseudo-tir depuis le milieu de terrain. Il n’en a amené que deux. Et surtout n’a obtenu aucune passe décisive avant la pause.
Sa première offrande a été pour Donatas Motiejunas, véritable combattant et auteur d’un panier gagnant important à ce moment de la rencontre (43-35, 21e). Il a alors permis à son peuple de constater une amélioration. Après son premier panier à trois points (52-48, 27e), il obtient trois nouveaux lancers francs en raison d’une nouvelle faute de Calathes.
Cette fois, c’est le meilleur buteur de l’Euroligue qui s’est imposé (55-48, 28e). Mais s’il a été adroit dans l’exercice (5/6), James était loin de ses standards pour le reste : 40% de réussite à deux points, 33% à trois points, trois ballons perdus et deux petites passes décisives avant le début de la finale. quart. A son retour dans la partie, alors que Monaco était mené de deux points (58-60), il a provoqué une nouvelle faute de Calathes. Mais cela ne suffisait pas… D’ailleurs, c’est ce dernier qui, en prolongation, a marqué le panier gagnant pour les Stambouliotes.