Publié
Durée de la vidéo : 4 minutes
Les Ukrainiens vivent un enfer au quotidien depuis 786 jours. La ville de Kherson vit continuellement sous les bombes.
A Kherson (Ukraine), il est impossible d’oublier la guerre. La ville vit au rythme des bombes, les Russes sont juste en face, de l’autre côté du fleuve. En pleine attaque aérienne, une femme accouche. Cette naissance fait la joie du personnel hospitalier car depuis plusieurs mois, les naissances sont rares dans la ville, 85% des habitants ont fui la ville. La maternité est la seule à être ouverte, même si elle a déjà été prise pour cible à deux reprises par les Russes.
Bombardements intenses dans l’après-midi
A l’extérieur, les bombardements continuent, jusqu’à 120 par jour. A partir de 14 heures, Kherson se transforme en ville fantôme. A partir de l’après-midi, les bombardements s’intensifient. Un homme, qui a choisi de braver le danger, a pour mission d’aider ceux qui ne peuvent être évacués, les habitants épuisés et en colère. Rester dehors, c’est prendre le risque d’être repéré puis pris pour cible par les Russes. La vie s’organise donc en caves et abris.
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Les Ukrainiens vivent un enfer au quotidien depuis 786 jours. La ville de Kherson vit continuellement sous les bombes.
A Kherson (Ukraine), il est impossible d’oublier la guerre. La ville vit au rythme des bombes, les Russes sont juste en face, de l’autre côté du fleuve. En pleine attaque aérienne, une femme accouche. Cette naissance fait la joie du personnel hospitalier car depuis plusieurs mois, les naissances sont rares dans la ville, 85% des habitants ont fui la ville. La maternité est la seule à être ouverte, même si elle a déjà été prise pour cible à deux reprises par les Russes.
Bombardements intenses dans l’après-midi
A l’extérieur, les bombardements continuent, jusqu’à 120 par jour. A partir de 14 heures, Kherson se transforme en ville fantôme. A partir de l’après-midi, les bombardements s’intensifient. Un homme, qui a choisi de braver le danger, a pour mission d’aider ceux qui ne peuvent être évacués, les habitants épuisés et en colère. Rester dehors, c’est prendre le risque d’être repéré puis pris pour cible par les Russes. La vie s’organise donc en caves et abris.