L’ancien président et candidat républicain à la présidentielle de 2024, Donald Trump, a été informé le 24 septembre, selon son équipe de campagne. « par des responsables du renseignement américain, de menaces réelles et spécifiques de la part du gouvernement iranien et de tentatives présumées de l’assassiner dans le but de déstabiliser les États-Unis et d’y semer le chaos », rapporte le quotidien USA Today.
Le briefing des services de renseignement américains intervient six semaines après celui du ministère américain de la Justice. « a inculpé un ressortissant pakistanais ayant des liens avec l’Iran en lien avec un complot présumé visant à assassiner un homme politique ou un responsable du gouvernement américain », potentiellement en réponse à l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani par l’administration Trump en 2020, note le journal.
« De grandes menaces »
Ce 25 septembre, raconte Forbes, Donald Trump a réagi sur son compte Truth Social (le réseau social qu’il a créé), évoquant « les graves menaces que l’Iran fait peser sur sa vie », et en ajoutant notamment : « Je suis entouré de plus d’hommes, d’armes et de fusils que jamais auparavant. »
Les autorités fédérales ont précisé que« Il n’y a aucun lien entre cette affaire et la tentative d’assassinat (contre Trump) du 13 juillet ou la deuxième tentative présumée » s’est produit en septembre en Floride, ajoute États-Unis aujourd’hui.
Un porte-parole du Bureau du directeur du renseignement national a reconnu la tenue de l’information mais a refusé de fournir plus de détails. « Téhéran avait auparavant nié toute implication dans des complots visant l’ancien président Donald Trump », rappelle le quotidien américain.
L’ancien président et candidat républicain à la présidentielle de 2024, Donald Trump, a été informé le 24 septembre, selon son équipe de campagne. « par des responsables du renseignement américain, de menaces réelles et spécifiques de la part du gouvernement iranien et de tentatives présumées de l’assassiner dans le but de déstabiliser les États-Unis et d’y semer le chaos », rapporte le quotidien USA Today.
Le briefing des services de renseignement américains intervient six semaines après celui du ministère américain de la Justice. « a inculpé un ressortissant pakistanais ayant des liens avec l’Iran en lien avec un complot présumé visant à assassiner un homme politique ou un responsable du gouvernement américain », potentiellement en réponse à l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani par l’administration Trump en 2020, note le journal.
« De grandes menaces »
Ce 25 septembre, raconte Forbes, Donald Trump a réagi sur son compte Truth Social (le réseau social qu’il a créé), évoquant « les graves menaces que l’Iran fait peser sur sa vie », et en ajoutant notamment : « Je suis entouré de plus d’hommes, d’armes et de fusils que jamais auparavant. »
Les autorités fédérales ont précisé que« Il n’y a aucun lien entre cette affaire et la tentative d’assassinat (contre Trump) du 13 juillet ou la deuxième tentative présumée » s’est produit en septembre en Floride, ajoute États-Unis aujourd’hui.
Un porte-parole du Bureau du directeur du renseignement national a reconnu la tenue de l’information mais a refusé de fournir plus de détails. « Téhéran avait auparavant nié toute implication dans des complots visant l’ancien président Donald Trump », rappelle le quotidien américain.