SAUL LOEB / AFP
Donald Trump et Kamala Harris lors d’un débat présidentiel au National Constitution Center à Philadelphie, en Pennsylvanie, le 10 septembre 2024.
ETATS-UNIS – Pas de revanche avant l’élection présidentielle américaine. La candidate démocrate Kamala Harris a défié samedi 21 septembre son adversaire républicain Donald Trump lors d’un débat une nouvelle fois sur CNN le 23 octobre, à deux semaines de l’élection.
« La vice-présidente Harris est prête à affronter à nouveau Donald Trump sur scène »son équipe de campagne a écrit dans un communiqué, avant que la principale personne concernée elle-même ne tweete ce message : « J’accepterais volontiers un deuxième débat présidentiel le 23 octobre. J’espère que Donald Trump se joindra à moi. »
Ce ne sera pas le cas. Il a refusé la proposition. « Il est trop tard pour organiser un nouveau débat, le vote a déjà commencé »a lâché samedi le candidat républicain lors d’un meeting de campagne en Caroline du Nord, faisant référence au début du vote anticipé dans certains États du pays.
« Il n’y aura pas de troisième débat »
Avant ce nouveau refus ce week-end, l’ancien président républicain avait déjà rejeté l’idée d’affronter à nouveau son rival lors de l’élection du 5 novembre. « Il n’y aura pas de troisième débat »le candidat républicain l’avait affirmé mi-septembre, comptant son échange télévisé en juin avec le président Joe Biden, alors encore candidat, en plus de sa confrontation avec le vice-président.
De l’avis général, c’est Kamala Harris qui a dominé le débat du 10 septembre, entraînant continuellement sa rivale sur les sujets les plus susceptibles de blesser son ego – sa présence aux meetings, la désaffection de ses anciens alliés politiques, sa réputation internationale…
Cela n’a pas empêché Donald Trump d’affirmer qu’au contraire c’était lui qui avait ” gagné “ le débat, tout en attaquant l’impartialité des deux journalistes d’ABC qui modéraient les débats.
À 45 jours du scrutin, l’issue de l’élection présidentielle reste plus incertaine que jamais, avec Donald Trump et Kamala Harris au coude à coude dans plusieurs des sept États clés où tout se jouera probablement.
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Donald Trump et Kamala Harris lors d’un débat présidentiel au National Constitution Center à Philadelphie, en Pennsylvanie, le 10 septembre 2024.
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« La vice-présidente Harris est prête à affronter à nouveau Donald Trump sur scène »son équipe de campagne a écrit dans un communiqué, avant que la principale personne concernée elle-même ne tweete ce message : « J’accepterais volontiers un deuxième débat présidentiel le 23 octobre. J’espère que Donald Trump se joindra à moi. »
Ce ne sera pas le cas. Il a refusé la proposition. « Il est trop tard pour organiser un nouveau débat, le vote a déjà commencé »a lâché samedi le candidat républicain lors d’un meeting de campagne en Caroline du Nord, faisant référence au début du vote anticipé dans certains États du pays.
« Il n’y aura pas de troisième débat »
Avant ce nouveau refus ce week-end, l’ancien président républicain avait déjà rejeté l’idée d’affronter à nouveau son rival lors de l’élection du 5 novembre. « Il n’y aura pas de troisième débat »le candidat républicain l’avait affirmé mi-septembre, comptant son échange télévisé en juin avec le président Joe Biden, alors encore candidat, en plus de sa confrontation avec le vice-président.
De l’avis général, c’est Kamala Harris qui a dominé le débat du 10 septembre, entraînant continuellement sa rivale sur les sujets les plus susceptibles de blesser son ego – sa présence aux meetings, la désaffection de ses anciens alliés politiques, sa réputation internationale…
Cela n’a pas empêché Donald Trump d’affirmer qu’au contraire c’était lui qui avait ” gagné “ le débat, tout en attaquant l’impartialité des deux journalistes d’ABC qui modéraient les débats.
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