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Le nouveau gouvernement de Michel Barnier est déjà sous pression. Dans un espace politique fragile, le Premier ministre devrait prononcer son discours de politique générale à l’Assemblée le 1er octobre.
A peine son équipe constituée, Michel Barnier était déjà sous pression. Dans une Assemblée nationale transformée en chaudron, le Premier ministre se retrouvait en première ligne, sans véritable tête d’affiche à ses côtés.
Les poids lourds de sa coalition sont aux aguets, à commencer par Gabriel Attal. Une partie du camp présidentiel ne supporte pas la nomination de Bruno Retailleau ou Laurence Garnier, jugés trop conservateurs.Je demanderai au Premier ministre de dire clairement (…) qu’il n’y aura pas de retour en arrière sur la procréation médicalement assistée, le droit à l’avortement, les droits LGBT.“, a déclaré Gabriel Attal.
Dans sa propre famille politique, chez les Républicains, Michel Barnier est également attendu comme un acteur de poids, notamment par Laurent Wauquiez. Le principal risque vient cependant de l’opposition, à l’extrême droite comme à gauche. Olivier Faure a déclaré que le Nouveau Front populaire voterait « pour la gauche ».une motion de censure“, tandis que la RN laisse planer la menace.
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