Le Rassemblement national poursuit ses polémiques, à moins de cinquante jours des européennes, autour de certaines personnalités qui devraient composer sa liste. Matthieu Valet, un ancien commissaire de police sanctionné par sa hiérarchie, Saidali Hamissi, un Mahorais habitué aux dérives sur les réseaux sociaux et, dernière révélation en date : le numéro 3 de la liste Fabrice Leggeri, ancien patron de l’agence Frontex, chargé des frontières de l’Union européenne, visé par une plainte pour complicité de crimes contre l’humanité.